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Ce que révèle la crise syrienne
Bonjour à tous,
Le temps passe et déjà, cela fait trois que la crise syrienne ensanglante le sol de ce beau pays.
Nous passons sans voir et nous sommes des lévites sans foi ni loi.
Nous laissons faire et tant pis si cela dégrade un si beau pays.
La géopolitique a ses intérêts que les intérêts de quelques semblent bien supérieurs.
Mais que penser des intérêts des syriens simples citoyens !
Un article paru en 2013 faisait le point et cela me paraît important de se remémorer la crise que traverse ce pays.
A vous de lire.
"En quelques jours, on est passé de la perspective de bombardements américains et français en Syrie (« Cinglante débâcle de la diplomatie française ») à des négociations entre Washington et Moscou. Téhéran, jusqu’ici enfermé dans son soutien inconditionnel à Damas, laisse entrevoir de possibles ouvertures (« Damas, l’allié encombrant de Téhéran »). Ce chassé-croisé reflète les changements de l’ordre international, qui peine à se recomposer depuis la fin de la guerre froide, chahutant même les règles de la sécurité collective (« Sécurité collective recherche bons avocats »). L’ampleur des conflits qui secouent le Proche-Orient et le Maghreb ainsi que l’affaissement des Etats (voir « Affaissement des Etats, diffusion du djihadisme) devraient pourtant redonner sa place à la diplomatie. S’ils cherchent toujours à contenir l’Iran et à rassurer Israël comme l’Arabie saoudite, les Etats-Unis regardent de plus en plus vers l’Asie, avec en ligne de mire la Chine (« Le grand écart de Washington »).
Ce que révèle la crise syrienne
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Cinglante débâcle de la diplomatie française
Olivier ZajecEn marge de la soixante-huitième Assemblée générale des Nations unies, François Hollande a rencontré son homologue iranien, qu’hier encore il voulait exclure des négociations sur la Syrie. Un revirement de Paris, (...) -
Aperçu Le grand écart de Washington
Michael T. KlareDepuis les débuts de la guerre civile, le président américain a fait savoir qu’il préférait éviter une intervention directe. Pourquoi alors avoir fait volte-face en menaçant le régime syrien de frappes militaires (...) -
Aperçu Damas, l’allié encombrant de Téhéran
Ali MohtadiVieilles de plus de trente ans, les relations stratégiques entre Damas et Téhéran sont-elles menacées ? La République islamique se prépare-t-elle à infléchir sa politique et à lâcher le président Bachar Al-Assad (...) -
Aperçu Ils disent « non »
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Aperçu Sécurité collective recherche bons avocats
Anne-Cécile RobertDésormais, les diplomates discutent davantage de droits de la personne que de protection collective, au risque de déstabiliser les Nations unies.
Tags : Syrie, Crise, 3 ans
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