• Bonjour à tous,

    La ville change de registre.

    Je vous invite au voyage !

     

    Une ville féérique, une ville irréelle, une ville excessive, une ville fantasmatique, une ville "carton pâte", une ville visionnaire, une ville onirique, une ville d'un autre temps.

    Une citée est la représentation d'un pouvoir et d'un imaginaire.

    Dubaï est la représentation du pouvoir d'une famille et l'imagination d'un pivot entre l'Asie et l'Occident.

    Cette ville d'échange ne pouvait se satisfaire des schémas urbains traditionnels, elle devait se distinguer par le brassage des cultures entre les bords de la Mer de Chine et de la baie d'Hudson !

    La démesure devait être la règle.

    Que cela plaise ou non, traverser les rues et falaises de pierres et de verres ne laisse pas indifférent.

     

     

    L'inauguration du Burj en 2010, la ville prend une dimension magique !

    L''eau se met à chanter et danser !

    Dubaï est tout cela mais tout autre chose.

    N'hésitez par à visiter les sites et si vous le pouvez, prendre un avion pour faire connaissance.

    Mille et une choses vous y attendent.

    Bon séjour et rêvez bien.

    PGR

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Bonsoir à tous,

     

    Cela se passe de commentaire.

    Et pourtant si !

    Cela se passait le 19 mai 2012 à Camp David (Etats-Unis) lors du sommet du G8.

    La photo est disponible sur le lien de la Maison Blanche américaine (http://www.whitehouse.gov/photos-and-video/photogallery/g8-summit-camp-david).

    Pour ceux qui ne savaient pas, il y avait la finale de la Ligue des champions de football opposant le club anglais de Chelsea à l'équipe allemande du Bayern Munich (on peut comprendre la lassitude de certain).

     

    Réconcialiation des politiques

     

    PGR.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonsoir à tous,

     

    Je me souviens d'un jour lointain qui si c'était  hier ! C'était les premiers jours de l'automne, la rentrée des classes avait déjà bien commencé et les nouvelles bruissaient d'un brusque changement politique dans un pays lointain d'Amérique Latine.

    Comme tous les garçons de mon âge ou qui nous ressemblions, nous avions porté notre dévolu sur un pilote de F1 que l'on surnommait "Le Prince".

     

     

    Il n'avait pas d'ascendants royaux, pas de titre de noblesse, je ne sais même pas s'il avait une fortune lui-même.

    Ce qui le caractérisait, c'était la jeunesse, l'élégance et des yeux bleus.

    Il participait à des courses automobiles, partenaire d'un illustre pilote écossais, triple champion du monde de F1.

    Il devait être sacré champion du monde en 1974 car son coéquipier J.Steward, devait prendre sa retraite.

     

    Le destin en décida autrement.

     

    Un Jour, une Vie, c'était le 6 octobre 1973.

     

    La mort frappe tout un chacun, mais il avait 29 ans, il savait ce qu'il faisait et il jouait avec la mort.

    Pour qu'une légende se fasse, il fallait que le héros disparaisse avec tragédie et impatience.

    Tragédie d'un virage et impatience de devenir un héros mythique.

     

    Il était élégant au point de laisser son coéquipier gagner la course.

    Il était élégant au point de donner une fragilité lors des épuisantes séances d'essais.

    Il était élégant derrière son piano et quelques beautés fatales.

    Il est jeune éternellement.

     

    Merci François, "Le Prince" de la F1.

     

     

    Le Prince

    "Le Prince"

    Le Prince

    Conviction et fragilité.

    Le Prince

    La victoire.

    Le Prince

    Concentration et détermination.

     

    Le Prince

    Si vous souhaitez en savoir davantage sur ce pilote de légende, je vous invite à lire (ou relire) ce livre publié après sa disparition.

    François Cevert est né le 24 février 1944 à Paris, il est le beau-frère d'un pilote français, Jean-Pierre Beltoise.

    Très tôt doué pour les sports mécaniques, il est remarqué par le responsable de l'écurie automobile de F1, Ken Tyrrel.

    Il gagna une victoire aux Etats-Unis à Watkins-Glen en 1971.

    Il disparu tragiquement lors des essais qualificatifs du circuit de Watkins-Glen le 6 octobre 1973.

    Il avait 29 ans.

     

    « Ce n'est pas la mort qui nous prend ceux que nous aimons. Elle nous les garde au contraire et les fixe dans leur jeunesse adorable, la mort est le sel de notre amour. C'est la vie qui dissout l'amour. » François Mauriac.

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour à tous,

     

    Vous avez probablement été surpris de mon premier article.

    Le sujet est immense et donc, je souhaite l'aborder progressivement et vous faire partager quelques recherches personnelles sur le sujet.

    Tout d'abord, Virtual War, quezaco ?

    Si l'on parle de la guerre, je vous consacrerais des protraits d'hommes comme Sun Tzu ou Clausewitz ou récemment Girard pour ne parler que des principaux.

    Mais, ce qui m'occupe aujourd'hui, c'est le paradoxe d'une guerre qui n'existe pas !

    S'il y a guerre, il y a confrontation, conflit, enjeu, contrôle, emprise, violence, etc...

    S'il y a virtualité, il y a absence de profondeur de champ, absence de contour, absence de règle, absence de contact direct et pourtant, il y a une connaissance partagée.

    C'est pas facile...à faire comprendre et donc à comprendre.

    Initialement, la Virtual War était considéré comme une guerre dite "psychologique" sur un adversaire plus fragile que vous-même. Les nazis lors du dernier conflit mondial, l'ont bien compris et ils ont usé de la Virtual War avec les européens, puis les polonais et les soviétiques pour finalement rentrer dans une guerre bien réelle.

    Avec l'apparition de la bombe A, puis de la bombe H et ses dérivées, les stratèges militaires de l'OTAN comme de l'ex "Pacte de Varsovie", ont bien vu qu'un nouveau type de guerre apparaissait.

    Des définitions ce sont constitués et ce qui m'importe, ce n'est pas de faire un cours sur la guerre moderne mais de la généralisation de la Virtual War dans le monde sociétale de la fin du XX° siècle et du début du XX° siècle. (je sais c'est un peu compliqué, mais ma plume dérape parfois).

    Si l'on prend l'origine de la virtualité dans le monde d'après guerre, c'est-à-dire dans les années cinquante, on doit aux Etats-Unis d'avoir formalisé un double mouvement : Command and Control.

    Si l'on relie les documents présentés par l'US Navy et en collaboration avec des Universités prestigieuses américaines, ce double mouvement CAC doit s'appliquer sur les conflits militaires puis les conflits sociaux, économiques et ainsi de suite.

    Avec l'apparition de l'ordinateur, la compagnie IBM et les services des armées des Etats-Unis, ont décidé de créé APARNET.

    Je vous passe les détails des évolutions successives mais avant d'arriver à INTERNET (année 80), on constate que le glissement vers la dématérialisation des données va nous conduire à la création de la Toile WEB dans les années 90.

    Vous connaissez la suite...

    Et la VIRTUAL WAR dans tout cela ?

    La guerre psychologique est devenu une guerre tout court. 

    Et il est étonnant qu'un auteur chinois comme le Général Sun Tzu apparaisse aujourd'hui car il s'organise dans une guerre des parties prenantes, une guerre des partenaires, des collaborateurs, des clients, du marché, de la finance... Vous voyez que les champs d'application ne manquent pas !!!

    Nous verrons prochainement comment finalement, ce concept de VIRTUAL WAR a des ramifications, des conséquences et un intérêt.

    Mais ce sera pour plus tard.

    Bon voyage.

    PGR

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Bonsoir cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    Un bouquet de fleur !

    La fin de l'année approche et les idées de cadeaux ne pleuvent pas comme voudrez. Le crachin des derniers jours n'a pas donné d'idée particulière.

    Heureusement, il y a toujours une idée indémodable qui fait plaisir et qui redonne du baume au coeur.

    Le bouquet de fleurs !

    Seulement voilà, soit vous les offrez en réel (http://www.cfaitmaison.com/brico/fleuriste.html) et vous aurez un succès garanti mais avec le temps, les fleurs s'abiment.

    Soit, vous optez pour des fleurs en tissu (http://www.a-fleurdeau.fr/fleurs_en_tissu_bouquets_compositions_livraison_527.htm) mais l'idée qu'une fleur fleurisse toute l'année est suspecte !

    Enfin, vous pouvez offrir virtuellement des fleurs (http://apercu.villeronce.com/voir-carte-bouquet-fleurs) et l'effet est garanti !

    Dans tout les cas de figure, vous ferez des heureux.

    Bon bouquet de fleurs, quel qu'il soit !

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour à tous,

    Une nouvelle qui fait plaisir.(http://frenchweb.fr/sans-faire-de-bruit-la-plateforme-de-blog-eklablog-passe-le-cap-des-5-millions-de-vu-60302/46025).

    J'avoue avoir hésité sur le type d'hébergeur et sur les conseils d'un ami québécois et d'un français, je me suis décidé à proposer un blog par le biais de la plate-forme d'Eklablog.

    Bien sûr qu'il existe d'autres hébergeurs, mais je suis heureux de pouvoir faire une activité virtuelle et me faire plaisir.

    Je débute et j'en conviens, ces 5 millions sont pour une large part pour mes confrères un peu concurrent...

    A quant la barre de 10 millions de VU/mois.

    Bien à vous,

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Bonsoir cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    Ne vous méprenez pas, je ne souhaite pas réécrire en anglais mais un phéomène de société occupe le devant de la scène depuis quelques années déjà et je souhaiterais vous en faire part.

    Vous allez me dire, que de circonvolutions (que c'est compliqué) pour parler finalement de quelque chose de très simple, la cybernétique ou plutôt le virtuel dans le réel !

    Sacré sujet !

     

    Virtual War ?

    Virtual War ?

     

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonsoir cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    Je vous invite à revenir dans mes souvenirs par le biais d'une citée médiévale qui a marqué ma mémoire et mon coeur.

    La ville est la représentation humaine de son espace de vie. La construction d'une ville est celle d'une histoire; une histoire de vie et plusieurs histoires de souffrance et parfois de mort.

    La ville que je vous propose de découvrir est celle d'un joyaux architectural qui s'est édifié il y a fort longtemps déjà.

    Je l'ai utilisé comme toile de fond dans l'un de mes romans que je vous ferais connaître bientôt.

    Elle est en Europe du Nord, dans un merveilleux pays que l'on appelle la Belgique.

    Cette ville s'appelle BRUGGE !

     

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Le soir.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Les frontons flamands.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Les illuminations de Noël.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Les rigueurs de l'hiver.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Merveille architecturale.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    La place royale.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Enluminure médiévale.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Mélancolie.

    Brugge ou la "Venise du Nord"

    Je reviendrais bientôt...

     

    Cette place fortifiée du IX° siècle a connu une histoire mouvementé (http://www.brugge.be/internet/fr/toerisme/geschiedenis.htm) et actuellement, elle rayonne d'une centralité européenne (http://www.coleurope.eu/) et surtout d'une mémoire (http://cdpresse.fr/2011/01/17/bruges-la-basilique-du-saint-sang-et-sa-precieuse-relique-du-saint-sang/) et aussi de merveilleuses gâteries au chocolat (http://www.brugsechocoladegilde.be/).

    Brugge c'est aussi la broderie, ses canaux, ses illuminations lors des fêtes de fin d'année.

    Brugge, c'est autre chose que je vous invite à découvrir.

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    1 commentaire
  • Bonjour à tous,

    Le XXI° siècle est le siège du paradoxe !

    Nous sommes dans une globalisation des échanges et dans le même temps, nous conservons des pratiques d'un autre âge.

    La dictature sous toute ces formes est une pratique politique contraire aux échanges des hommes, des biens et des services.

    Et pourtant !

    Le jasmin et une torche humaine !

    Quelle violence dans le paradoxe !

    Je ne me souviens pas exactement où j'étais lors de ces événements du début de l'année 2011 mais je me rappelle encore l'assurance des dictateurs tunisiens, libyens, égyptiens et somaliens lors d'une rencontre à Tripoli, à la fin de l'année 2010. Ces tyrans croyaient avoir l'éternité devant eux et pour certains, quelques semaines à vivre seulement !

    Mais qu'importe la mort d'un dictateur, la violence qu'il génère le rattrape tôt ou tard !

    Mais celle d'un modeste commerçant prend une ampleur inégaliée dès lors qu'elle s'inscrit dans le signal d'une révolte.

    Comment remercier Mohamed Bouazizi de son sacrifice sinon par une attention particulière pour ce peuple tunisien qui a voulu s'affranchir de la dictature d'une famille corrompue.

    Le jasmin est une fleur odoriférante et dont les senteurs sont délicates.

    La Révolution du Jasmin ou la mémoire de Mohamed Bouazizi

    Celle de ce visage, grave et décidé, l'est tout autant !

    La Révolution du Jasmin ou la mémoire de Mohamed Bouazizi

     

    La révolution du jasmin est passé et pourtant tout reste à faire.

    L'essentiel est déjà devant ce peuple et ses proches voisins.

    Il existe un sentiment de liberté même si la liberté ne s'acquiert pas, sans un certain temps de maturation.

    Si les dictateurs ont été chassés, certains sont morts et quelques uns presque moribond. Il reste cependant un visage, celle d'un homme qui a donné sa vie pour que vive ses compatriotes.

    Le prix de la liberté a un coût élevé, mais certains disent, qu'il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie à ceux que l'on aime.

    Mohamed Bouazizi aimait la vie plus que tout autre et il a offert sa vie pour que la vie demeure.

    Merci cher monsieur.

    PGR

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    1 commentaire
  • Bonsoir cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    La fin du XIX° siècle et le début du XX° nous donne une époque fabuleuse en termes de compositeur de musique. L'art musical tend à son apogé comme pour mieux conjurer les périls.

    Pourtant, rien ne sort de beau sinon de Paris. La capitale jacobine concentre tout les atours et les talents et parfois le génie.

    Pourtant !

    Les rivages du Golfe de Gascogne vont produire un génie parfois mal compris mais toujours plus apprécié. La saveur de la beauté se déguste avec le temps.

    Si les flamboyants auteurs parisiens croient détenir les clés du savoir et de la beauté, ce n'est pas sans compter ce village basque si modeste de Ciboure.

     

    Maurice Ravel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Allez vous promenez le long de la grève vers le jusant océanique et ressentez les premices de l'auteur des "Jeux d'eaux" pourtant refusé plusieurs fois au Grand Prix de Rome !

    Sa vie et son oeuvre sont remplis d'une force, d'un classicisme et d'un volonté de voir le monde futur sans pouvoir l'atteindre.

    Il connu Stravinsky et Gershwin, il était contemporain de Debussy et de Cocteau. Il travailla avec Colette et fut l'élève de Gabriel Fauré.

    Un homme qui se trouvait ordinaire et qui produisit des chefs-d'oeuvre musicaux : Pavane pour une enfante défunte, Ma Mère l'Oye, Le Tombeau de Couperin, Daphnis et Chloé, Boléro, Concerto pour la Main gauche, Concerto en sol majeur...et tant d'autres.

    Je vous invite à visiter ce merveilleux sites : http://www.maurice-ravel.net/ où toutes ces oeuvres définissent des liens.

    Je voudrais laisser à Monsieur Ravel le soin de nous faire comprendre le sens de la musique :

    « Je n’ai jamais éprouvé le besoin de formuler, soit pour autrui soit pour moi-même, les principes de mon esthétique. Si j’étais tenu de le faire, je demanderais la permission de reprendre à mon compte les simples déclarations que Mozart a faites à ce sujet. Il se bornait à dire que la musique peut tout entreprendre, tout oser et tout peindre, pourvu qu’elle charme et reste enfin et toujours la musique. »

    — M. Ravel, Esquisse autobiographique (1928)

     

     

    Un jour, une vie voulait faire mémoire de ce musicien précurseur et fragile, si intense et pudique, merci Monsieur Ravel.

     

     

     

    Maurice Ravel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    PRG

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    Ce soir, le magazine asiatique "India Today" fait la une de sa rubrique musicale et culturelle sur un phénomène de société.

    Qu'on le veuille ou non, l'Asie est devenu un condominium incontournable et l'Inde est plus que jamais un interlocuteur qui frappe à la porte des grandes puissances de cette planète orientée trop souvent vers les pays de l'OCDE, autrement dit, les pays du vieux continent (Europe, US et quelques pays satellites).

    India Today nous informe qu'une comète va débarquer sur nos écrans et platines du monde entier (http://indiatoday.intoday.in/story/priyanka-chopra-nominated-for-world-music-awards-2013/1/237031.html).

    Que l'on aime ou pas, c'est un phénomène de société.

    Pour nous les hommes, elle est sublissime (et je vous rappelle qu'à ce sujet, la dite Priyanka a été sacré Miss Monde en 2000). En 2012, vous jugerez plutôt de ce qu'il est en est !

    Chers messieur, dormez bien  et mesdemoiselles et mesdames, admettez qu'elle est sublime !!!

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

    Jeune mannequin...

     

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

    Et jeune femme...

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

     Pleine de séduction...

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

    Enchanteresse...

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

     Envoutante...

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

     Frivole...

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

    Sexy...

    Priyanka Chopra ou le rêve indien

    Une femme !

    Votre dévoué.

    PGR

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonsoir cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    Ce soir, je voudrais vous initier à la composition musicale.

    N'attendez pas de moi un cours théorique (ou trop) pour des initiés, mais davantage un apprentissage de la beauté simple des sons.

    La musique n'est pas réservée uniquement aux artistes ou se prétendant l'être.

    La musique est un art éphémère qui touche l'émotion.

    Ce soir, je vous propose une création (déjà ancienne) contenu dans un CD personnel (non publié), le single Six et qui s'intitule "Fin du chemin".

    Le titre est important car il domine toute la thématique du sujet traité.

    Pour moi, la "fin du chemin" est en relation avec la destiné humaine et ces difficultés d'appréhender ses contraires, autrement dit, on est heureux parfois et malheureux quelquefois.

    A vos oreilles !!!

     "Fin du chemin", extrait du single six ((2009)

     

    Pour vous expliquer comment je travaille, il faut mettre en marche le morceau est voguer au gré de mes modestes suggestions.

    Le thème générique est composé sur un clavier numérique et un logiciel simple (garageband) et plus sophistiqué (Logic pro).

    Ce qu'il faut retenir, c'est l'agencement des bandes que vous voulez transmettre et travailler.

    Tout d'abord, je prend un piano (gran piano punchy) et je fais glisser quelques notes (dans le tempo et parfois non (en contretemps)) et je les associe avec une polyphonie classique (Orchestral String) et je les combine avec une musique synthétique (Angelic Organ).

    Nous venons de commencer l'introduction du thème. Il est léger, méditatif pour ne pas dire interrogatif. (1mn)

    Puis, je commence à traiter des rythmes et des sons polyphoniques pour donner du corps à mon thème introductif.

    Nous sommes dans l'attente. (2 mn environ)

    Nous rentrons alors dans une mélodie avec une basse (FingerStyle Electric Bass), puis une tonalité évanescente (Sinur Shimmer).

    Nous sommes dans la deuxième partie, celle de la discussion.

    Les sons se correspondent et la musique prend de l'ampleur.

    Notre message est toujours de donner une direction, une trajectoire.

    Les mélodies s'articulent et se répondent.

    Puis, nous arrivons à un point de rupture.

    C'est la troisième thématique: celle du mouvement.

    Les instruments sont le piano (Gran piano punchy), l'orgue (Angelic Organ), et une guitare acoustique (classical accoustic). (1mn)

    Puis nous reprenons une thématique plus orientée vers le méditatif, l'homme tente de trouver un sens à sa vie (Piano, orchestral string, Sinur Shimmer). (4 mn environ)

    Les octaves sont tentôt vers le milieu du clavier, tantôt vers les aigues et tantôt vers les graves. L'inspiration vous donnera les tonalités nécessaires pour donner votre version de la destiné humaine.

    Enfin, il faut conclure, et je propose un son synthétique (Swirling Droplets et Smooth String) afin de pouvoir donner une perspective à votre composition. (2 mn environ)

    Vous pouvez bien sûr faire varier le curseur où votre inspiration vous guidera. Cette composition a duré plus de 10 mn mais vous pouvez augmenter ou diminuer chaque partie à votre convenance.

    Bonne chance.

    PGR.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Bonsoir cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    Ce soir, je vais vous faire découvrir l'art du tisserand. La France détient la manufacture des Gobelins à Paris, (http://manufacturedesgobelins.fr/) est, j'avoue que le non parisien que je suis, n'a jamais su résister de visiter ce magnifique lieu de l'art des maîtres lissiers.

    Ce lieu magique et anodin renferme des beautés et des pratiques uniques de l'art du tissage.

    Mais ce qui m'occupe est loin de la rue des Moulins à Paris, je souhaiterais vous initier à l'art du tissage verbal.

    A vos points d'aiguilles !

     

    "Ourlet", nouvelle de PG Renaud

     

     

               Ourlet

     

     

     

     

    On parle souvent de plis et d'ondulation.

    Ou bien  encore d'envergure et d'ample mouvement.

    Cette souplesse  est naturelle ou alors travaillée.

    Et reste l'apanage de mains expertes ou de civilisations oubliées.

     

    La forme demeure éphémère.

    Elle prend l'allure royale ou bien d'une mode passagère.

    Toujours pourtant elle reste attaché à une volonté.

    Celle de plaire à autrui à défaut de soi-même.

     

    Si les hommes furent la représentation d'une amplitude.

    C'était pour signifier une puissance pour ses contemporains.

    Mais cette époque est lointaine et se reporte désormais aux femmes.

    Qui occupent le champ visuel et accroche notre regard.

     

    L'imaginaire a changé d'horizon.

    Les toges, robes d'apparats et autres habits de cours.

    Ont désormais disparu au profit de collections saisonnières.

     

    Notre regard a changé et se profile une fascination.

    Celle de plaire sans toucher tout en se donnant l'air.

    Pourquoi demander à un tissu d'exprimer une sensation tactile ?

    Les contours affriolants et les lignes courbes se chargeront d'épaissir le mystère.

     

    L'ourlet devient une quête et une raison de croire.

    On cherche à comprendre le sens d'une telle complexité.

    Comment de telles coutures peuvent-elles s'agencer ?

    La patience et l'ingéniosité ne suffisent pas à tout expliquer.

     

    Après la ligne au détour multiple, il existe une autre énigme.

    Comment faire prendre corps à de telles courbes et contours travaillés ?

    La silhouette et les lignes complexes de la femme viennent à point nommé.

    Elles permettent d'animer ces robes, tailleurs et autres chemisiers.

     

    L'ourlet prend toute son amplitude avec un pas rythmé.

    Il s'estompe avec les soupirs d'une attente d'une cadence.

    La reprise d'un déhanchement calculé lui redonne une perspective.

    Celle de faire rêver les hommes et aimer la beauté.

     

    P-G Renaud

    (Le vendredi 4 novembre 2005)

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour cher (e) (s) ami (e) (s),

     

     

    Désolé pour les francophiles mais je n'ai pas résisté à franchir l'Océan pour m'amuser d'une guerre fratricide et inutile entre deux géants informatiques mondiaux : Apple vc Samsung (http://www.macworld.com/article/2018338/apple-vs-samsung-bad-blood-in-the-smartphone-wars.html).

    Bad blood in the smartphone war

     

     

    Les articles ne manquent pas et je vous avoue que j'ai compulsé les chiffres financiers pour comprendre si oui ou non, cette rivalité a du sens ou reste stérile, notamment pour les consammateurs que nous sommes !

    Si l'on compulse les bilans financiers des deux compagnies informatiques, nous observons deux choses :

    1) Capitaux nets (Total asset) en 2011 :

    - Samsung = 343,7 billions $

    - Appel Inc = 116,371 billions $

    2) Revenu total (Total income) en 2011 :

    - Samsung  : 21,2 billions $

    - Apple : 19,2 billions $

    3) Capitalisation boursière en 2012 :

    - Samsung : 77,95 B$

    - Apple : 483.82 B$

     

    Désolé de vous avoir donné tous ces chiffres, mais il ressort que la compagnie coréenne Samsung (conglomérat multiproduits et services) a une capitalisation boursière six fois inférieure à celle de la société coté au Nasdaq à New Yord, Apple Inc.

    Il ne suffit pas de vendre, il faut attirer des investisseurs et la guerre entre ces deux géants est davantage une guerre de marché et de filière qu'une simple guerre de brevêt !

    Equipez vous comme vous l'entendez durant ces fêtes de fin d'année, mais ne reprenez pas à votre compte ce conflit sans merci où l'un des deux disapraîtra.

    Bonne fin de journée.

    PGR.

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Cher ami (e) (s) bonjour,

     

    En ces temps troublés que nous vivons actuellement, l'actualité nous abreuve de mauvaises nouvelles et des nouvelles contradictoires.

    Le principe des informations étant bien de nous informer mais de ne pas les comprendre.

    Parfois, une information nous redonne le goût de vivre comme cette étonnante aventure arrivée à un certain Tadeusz Pietrzykowski.

    Son histoire nous est relaté par un hebdomaire français (http://www.lefigaro.fr/international/2012/12/24/01003-20121224ARTFIG00244-teddy-le-gladiateur-d-auschwitz.php).

    Ce qui frappe le lecteur, que je suis comme vous, c'est l'incongruité de l'histoire d'avec son contexte.

    Que vient faire un sport (la boxe) au milieu de l'Anus Mundi (les lagers du XX° siècle).

    L'absurdité n'a pas de limite et les nazis avaient inventé un nouveau genre de manifestation car ils s'ennuyaient à voir mourir leur prochain !

    Ce livre (http://www.dobre-ksiazki.com.pl/bokser-z-auschwitz-p345349.html?utm_source=nokaut.pl&utm_medium=cpc&utm_campaign=2012-12&utm_content=345349#nclid=d3d124044dc857a9e61e68f2d9cb2d6c) a été écrit récemment.

    La force contre l'oubli

     

    Cette histoire est émouvante et presque tragi-comique. L'homme face l'absurdité mais aussi à la violence.

    La violence était partout dans les lagers et pourtant, la boxe a des règles et tout les hommes comprennent que la violence ne peut être toujours gratuite.

    Les victoires de Tadeusz sur ces partenaires et ennemis allemands ont été reconnu par ces mêmes ennemis.

    Comme si une victoire au poing donnait du sens à la violence, alors que les hommes, les femmes et les enfants qui partaient dans les chambres à gaz et les fours crématoires, subissaient une violence mais n'avaient pas de gant de boxe pour répondre au médecin SS, responsable de la sélection !

    Merci Tadeusz d'avoir redonné une dignité dans ce lieu d'iniquité.

     

    Bonne lecture.

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour cher (e) (s) ami (e) (s),

     

    Je me souviens enfant, d'un homme que je croyais immortel !

    Comment un homme qui défie les forces occupantes durant la deuxième guerre mondiale (La Grande Évasion), qui se sacrifie (La Cannonière du Yang-Tsé), qui chasse le méchand à cent-à-l'heure  (Bullitt), et qui sauve son prochain (Les Sept Mercenaires).

    Comment cet homme là, peut-il mourrir ?

    C'est impossible.

    Et pourtant, même les hommes infaillibles sont mortels et Thomas Crown, a un jour atteint sa limite.

    Steve MacQueen est un homme furtif et fragile et il fut un homme extraordinaire dans ses films et curieusement ordinaire dans sa vie.

    Je suis étonné de savoir certaines choses, mais non, ce sont les médias qui racontent et colportent tout cela.

    Steve MacQueen sera toujours pour moi le "King of Cool".

    Merci Steve de nous avoir fait rêver.

    Essaye d'être prudent là où tu es maintenant.

    Ciao.

     

    Steve ou le "King of Cool"

    Quel magnétisme !!!

    Steve ou le "King of Cool"

    Cascadeur !

    Steve ou le "King of Cool"

    Séducteur ou manipulateur ?

    Steve ou le "King of Cool"

    Imprévisible !

    Steve ou le "King of Cool"

    L'éternel masculin !

    Steve ou le "King of Cool"

    Sans commentaire

     

    PGR

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonsoir,

     

    Ce soir, je désire vous faire connaître davantage, une femme de coeur et une femme de passion.

    Une femme qui a aimé et peut-être, trop aimé.

    Une femme d'exception et une femme fragile.

    Une femme qui aimait les hommes.

    Des hommes qui n'ont pas su voir la femme.

    Une femme  qu'on aimerait rencontrer.

    Merci Romy Schneider.

    Hommage à Romy !

     

    Hommage à Romy !

     

    Hommage à Romy !

     

    Hommage à Romy !

     

    Et celle que je préfère !!!

     

    Hommage à Romy !

     

    (La voix divine de Romy Schneider)

     Bien à vous.

     

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Cher (e) ami (e) bonsoir,

     

    Je vous informe que le téléscope Hubble vient de nous faire découvrir une nouvelle planète dans notre galaxie !

    Voyez plutôt :

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

     

    C'est impressionant non ?

    Nous venons de recevoir d'autres clichés :

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

    Impressionnant !

    Un cliché plus précis nous montre des contours surprenants !

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

     

    Les experts de la NASA et les astronomes nous assurent qu'ils cherchent par tout les moyens de connaître et pouvoir mettre un nom à cette nouvelle planète. Pour notre part, nous aimerions bien l'appeler Steve, mais on ne sait pas trop.

    D'autres experts (climatologues et géophysiciens) nous informent qu'ils voient, eux-aussi, d'étranges phénomènes ; je vous les propose à votre sagacité :

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

    Une nouvelle configuration de la Terre !

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

    Un nouveau type de Cyclone tropical !

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

    Tout le monde voit la pomme partout...

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

    Dans n'importe quoi...

    et même (car il ne faut pas perdre le rythme) :

    Une nouvelle planète dans le système solaire !

     

    Bon !  Restons un peu sérieux et ne prenez pas toute information pour argent comptant !

    Restez vous même !

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour cher (s) ami (e) (s),

    Je me souviens d'un cadeau dans ma jeunesse que je trouvais original et curieux. L'histoire d'un petit garçon qui se termine avec son réveil ! Sygmund Freud n'avait pas encore inventé la psychanalyse et déjà l'humanité se berçait des histoires merveilleuses et fantastiques du petit Nemo dans son curieux pays de Slumberland !

    Little Nemo et le pays de Sumberland (pionnier de la BD)

    Little Nemo dans le pays de Slumberland a été créé par l'américain Windsor MacKay qui a publié ces aventures pour l'hebdomadaire US, le New York Herald puis le New York American. Chaque semaine, W.MacKay produisait une planche sous la forme d'une bande-dessinée, d'octobre 1905 à juillet 1914.

    W.MacKay fut considéré comme un pionnier de la BD, mais à lire ces planches, les histoires sont parfois aimables, romantiques et terribles pour ne pas dire épouvantables.

    Comme pour conjurer un mal qui vient (la première guerre mondiale), W.MacKay nous donne à rêver et nous prévient que le temps passe et qu'il ne faut pas le gaspiller !

    Dans ces histoires, il y a Nemo (qui voyage en permanence, le Roi Morphée et sa fille (très jolie au demeurant), Imp (un curieux personnage) et le méchant (Flip) qui aimerait parfois être son ami.

     

    Little Nemo et le pays de Sumberland (pionnier de la BD)

    Nemo dans ses courses folles !!!

    Little Nemo et le pays de Sumberland (pionnier de la BD)

    Cela commence normalement et se poursuit ...

    Little Nemo et le pays de Sumberland (pionnier de la BD)

    Bonjour La Lune !

    Little Nemo et le pays de Sumberland (pionnier de la BD)

    Ouf !!! Ce n'est qu'un rêve !!!

    Little Nemo et le pays de Sumberland (pionnier de la BD)

     

    Et si vous voulez continuer à lire ses aventures, je vous propose ce site. C'est onéreux mais tellement merveilleux !!!

     

     

     

     

    Bonne lecture.

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Bonjour à tous cher (s) ami (e) (s),

    Aujourd'hui nous sommes entrés dans un cycle infernal. Ne vous méprenez pas, nous ne voyons rien car il n'y a plus rien à voir.

    Un magazine à grand tirage a demandé à ses lecteurs, leurs réactions propres concernant l'Apocalypse.

    La phrase la plus intéressante pour moi est celle-ci :

    "La fin du monde, il ne faut pas que cela dure trop longtemps !" (voir le site ci-dessous) :

    (http://plus.lefigaro.fr/note/la-fin-du-monde-cest-une-bonne-chose-mais-il-ne-faut-pas-que-ca-dure-trop-longtemps-20121220-1676189)

    Des prophètes de malheur ont parsemé les siècles. A vous de faire le tri.

    Pour ce qui nous concerne, comment raisonnablement pourrions-nous interférer sur l'avenir du monde alors que nous ne savons même pas faire pleuvoir !?!?!

    Bonne fin de fin du monde !

    PGR

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire