H

Hémistiche

En grec, le mot hémistiche signifie « demi-vers » . En poésie, ce terme est donc employé pour désigner la moitié de l'alexandrin, soit six syllabes. La césure marque la fin de l'hémistiche.
Boileau l'illustre parfaitement dans son Art poétique :

G

Genre littéraire

Le genre littéraire est une catégorie qui permet de rassembler les textes par « familles ». On distingue cinq grands genres selon l'usage courant des bibliothèques : la poésie, le théâtre, le roman, la critique, le genre argumentatif (essais, discours, etc.). Cette classification repose à la fois sur des critères formels (usage de la prose, du vers ou du dialogue), pragmatiques (un texte écrit pour être joué, lu ou dit), sémantiques (textes créant un univers fictif, textes parlant d'autres textes) et narratologiques (selon l'identité et la place du narrateur dans le récit).

Guerre

Situation conflictuelle entre deux ou plusieurs pays, états, groupes sociaux, individus, avec ou sans lutte armée. Rapports conflictuels qui se règlent par une lutte armée, en vue de défendre un territoire, un droit ou de les conquérir, ou de faire triompher une idée....

Galber

Présenter une courbe, une courbure. Avoir une courbe harmonieuse, être bien fait. Donner du galbe à un objet ; le cintrer légèrement.

Garbure

Emprunté au gascon garburo (garbura en graphie classique), repéré au XVI^e siècle en gascon et au XVIII^e siècle en français, d'origine incertaine. Peut-être d'une racine pré-latine : cf. castillan garbías et garbanzo. La garbure était l'aliment quotidien des paysans gascons. Elle variait d'une maison à l'autre, et suivant le rythme des saisons, avec les ressources du potager et du saloir. Le principe de sa recette consiste à faire cuire longuement un assortiment de légumes et de viandes, en général confites. Servie comme potage ou comme plat de résistance, la garbure peut être adaptée aux besoins de chacun.

Gamète

Un gamète est une cellule reproductrice généralement haploïde spécialisée dans la fécondation, ou gamie (c'est-à-dire capable de fusionner avec un autre gamète, de type complémentaire le cas échéant), chez les Eucaryotes. Les gamètes sont des cellules spécialisées participant à la reproduction sexuée en réalisant le passage entre phase haploïde et phase diploïde lors de la fécondation.

Galéjade

Bonjour cher (e) ami (e),

Je reprends ma plume en raison d'une actualité riches en événements. L'année 2024 est une terminaison de cycle économique. En effet, nous constatons la remise en cause des systèmes politiques et leurs limites.

- L'empire américain est arrivé à son stade ultime d'endettement même si les financiers peuvent nous faire croire le contraire, le mur fiscal, l'endettement et l'inflation ne pourront indéfiniment porter ce vaste pays, ces ressources ils les prennent de l'extérieur par exogéniété négative notamment de l'Union Européenne et une démarche de prédation numérique, énergétique et culturel;

- L'empire Chinois devait prendre le relais mais des failles systémiques apparaissent notamment par l'immobilier, la consommation intérieur et une stratégie liée à une reprise en main des outils et secteurs stratégiques (Alibaba entre autre chose) par le pouvoir politique en place, sans omettre une déshérence des jeunes en discordances avec l'évolution culturel mondial;

- La République de Russie n'est pas un sujet en soi car les informations ne sont alloués sous le seul prisme d'un pouvoir autocratique et suicidaire qui pratique la politique du saut en avant notamment militaire, il sera temps après le conflit que nous observons aujourd'hui de considérer la réalité économique de ce vaste pays;

- L'Afrique devient une constellation où l'ultra-richesse cotoie l'ultra-pauvreté, lecture duale d'un système de prédation des précédents systèmes sommairement décrit. Les exemples de pays de l'Afrique centrale devenant des espaces dédiés par procuration de source de consommation d'un pays tiers ne manque pas;

- L'Amérique Latine cher à mon coeur (je suis chilien par adoption filiale) est complexe et finalement l'entité qui a le plus souffert des dictatures militaires et asservissements macroéconomiques en tout genre notamment nord-américain, ils ont avec le MERCOSUR et le PACTE des PAYS ANDINS définit des trajectoires de progrès (hormis l'Argentine mais c'est récurrent à leur histoire).

Reste l'EUROPE !

Cet entité hétéroclite de pays ou de nations bientôt vont s'organiser en conglomérat d'intérêt divergent. La récente flambée de nationalisme au relent nauséabond des années brunes (1935) ne peut que susciter inquiétude et finalement un juste retour de l'histoire. L'Europe est l'enjeu de toute les convoitises car la trentaine de pays se sont éparpillés par les différentes crises l'affectant dans les quatre coins du monde.

Résultat, nous avons une assemblée du parlement européen dont la matrice de gouvernance sera l'immobilisme. Comment associer des parties ou courants politiques dit 'de droite' pour gouverner 4 à 500 millions d'européens ?

L'illusion des extrêmes en est la triste réalité et donne la nausée. Faire croire des croyances déjà éprouvés dans l'histoire dont on en connaît les funestes conséquences, est une triste réalité !

Alors que faire ?

Écrire comme M. Zemmour le suicide de la France et de l'Europe sur 5 à 600 pages et donner 30 pages de propositions...

Ce n'est pas sérieux. Les partis qui vont gouverner l'Europe et bientôt la France sont le fruit d'un malentendu. Les adeptes du FREXIT, de la sortie de l'EURO, d'un protectionnisme et d'une immigration à double frontière relèvent de la plaisanterie. Si c'était plaisant.

Que faire me direz-vous ?

Un principe de réalité consiste à observer froidement une situation, en faire un diagnostic et établir les éléments de mesure pour organiser un présent acceptable afin de poser et proposer un futur souhaitable.

Notre déficit public est aberrant, certes majoré par le COVID et le 'quoi qu'il en coûte' mais la France si l'on parle de ce pays mais on peut l'extrapoler sur d'autres pays européens, vit au dessus de ses moyens.

Notre système de santé, les transports, l'agriculture, l'énergie, la R & D, la recherche, les services, l'industrie...

Je pourrais à plaisir énumérer les potentialités que notre pays recèle,  mais une administrations pléthoriques, invasives et évasives ne pouvaient que générer une sorte de torpeur de nos capacités à dynamiser l'emploi, le travail, les loisirs et finalement notre capacité à être heureux.

Sommes nous heureux de vivre en France et en Europe ?

A priori, l'IDH est moyen car les hommes, les femmes et les citoyens qui l'a constitue ne sont plus partis prenantes de la société.

Le coup de tonnerre de la dissolution de l'Assemblée Nationale, est le révélation d'un principe de réalité par excellence : la fin de la récréation et du cirque mené de main de maître par les extrêmes. Ils se sont bien amusés comme durant la République de Weimar, nous avons vu où cela nous a mené. Prendre l'hémicycle de l’Assemblée comme exutoire d'un défoulement d'une classe gériatrique en mal d'hormone, suscite le dégoût.

Les tragiques événements du Moyen-Orient viennent nous rappeler que nos vieux pays sont le reflet malsain métastasant la planète.

Les Jeux Olympiques à Paris devaient être une fête, nous allons assisté au jeu de Berlin de 1936 où les représentants allumant la flamme vont faire revivre les pires instants du XXème siècles que nous croyons pour certains à jamais compris.

Un principe de réalité est aussi une hypothèse de travail et je peux largement me tromper.

L'histoire est jalonné de retournement, car le court de l'histoire nous échappera toujours. C'est là notre salut.

Nous avons dans nos mains, nos intelligences, notre savoir faire et être, nos histoires de vies compris ce qui est bon pour nous et nos proches, gageons que cela suffisent pour retarder ou mettre en perspective les jalons d'un présent acceptable et un futur souhaitable pour les générations qui nous suivent.

Je nous souhaite d'y réussir.

PG Renaud

Hello, bonjour, Ola,

One upon the cross. This Blog.

Already 10 years!

In fact, this blog tries to understand the world of culture, science and life. Personal events did not allow me thinking and writing, anywhere.

I try an other life but, may be, with it, this blog.

I love you.

Un jour, ce blog a été pour moi important à créer.

Des années ont passé et j'ai essayé de cultiver un art de penser, de lire, de comprendre le monde et finalement de le vivre tout simplement.

Des problèmes de santé ne m'ont pas permis de le faire vivre comme il se doit. D'autres le feront peut-être ?

J'ai engagé un virage dans ma vie, avec en écho, ce blog qui me suit comme une fleur d'intérieure.

Je vous aime.

¡Ya 10 años!

Este blog intenta comprender el mundo de la cultura, de las ciencias y de la vida.

Los eventos personales no me han permitido hacer vivir este blog.

Pienso en otra vida pero con este blog.

Os quiero

Paco (PGR)

Bonjour à tous,

 Déjà 10 ans !

Des années ont passé et je vieilli mais ne rompt point.

Trêve de bavardage, des soucis de santé et de multiples problèmes extra et intra-familiaux ne m'ont pas permis de continuer à alimenter ce blog.

Je rester attentif aux nouvelles m'environnant et les publications se succèdent mais l'envie n'est plus trop au rendez-vous.

Je me vois me plaindre ami lecteur, que ce passe-t-il ?

Je me dois de me ressaisir mais en réalité, ces deux années passées en épuisement professionnel m'a autorisé à comprendre des comportements chargés de sens. Il ne suffit pas de lire Arendt, Primo Levi ou encore Morin et des ouvrages poétiques hispanophones pour me mettre à apprécie la vie.

Non, la vie c'est simple et compliqué à la fois.

Je reste donc attentif à ces moments particuliers où la guerre est à nos portes et qu'une nouvelle élection fragilise la France dans ses fondements par ses divisions et ses fractures croissantes.

L'avenir est ce que l'on en fait et c'est l'instant présent qui mérite toute notre attention.

J'espère pouvoir poursuivre ce blog avec l'attention qu'il mérite et remercie les lecteurs anonymes et de passages qui peuvent s'instruire de mes quelques réflexions.

Bonne lecture et à bientôt.

FDO

Bonjour,

Voici un beau livre, émouvant et bien écrit.

Sans fioriture ni description inutile, nous voilà plongé dans un univers particulier : l'enfance traumatisée par des chocs et une vie à se reconstruire.

La vie est simple et belle parfois, cruelle et inutile souvent.

L'auteur nous fait part, à la maturité de sa vie, de son enfance.

Livre remis à plus tard et finalement mis à l'honneur pour notre plus grand bonheur.

L'histoire se lit comme un roman avec des histoires de vie et des récits tellement véridiques parfois drôles.

Ce livre aurait pu être mien mais l'auteur saisit tellement mieux que je n'aurais pu l'écrire ces moments délicats et vacillants où la mémoire sombre par des traumatismes semble-t-il, irrémédiables.

Merci monsieur Cyrulnik.

Bien à vous.

PGRenaud

Ola,

Voici un livre qui aurait pu être un "grand" livre et dont la critique de l'éditeur (on peut le comprendre) considère que ce premier roman est un "formidable premier roman et un formidable road trip".

Seulement voilà, on peut être d'un continent abritant ou contenant des auteur (e) (s) fabuleux et rester sur le pas de la porte de la grande littérature latino-américaine.

Si le style est plaisant, descriptif à souhait et foisonnant d'anecdotes, on ressent très vite un décalage entre le conteur et le conte proposé. L'auteur est scénariste de métier et vendeur de cartes anciennes. Ce faisant, cela fait un beau décor comme ce livre le propose. On peut regarder un paysage d'un train lancé à grande vitesse parcouru par de multiples arrêts dans des gares dantesques ou fantomatiques. Las, L'histoire reste à écrire.

Ces histoires-  avec un héros "Parker" désabusé - semblent tirées d'un imaginaire débridé mais sans assise ni fondement. L'auteur raconte sans avoir probablement jamais connu l'une de ces multiples situations sinon, dans des scénarii chimériques.

J'ai arrêté au deux-tiers du livre, découragé par ces descriptions interminables sans début ni fin, des histoires démentes et tellement improbables car imprégnés de l'inconscient d'un homme sursaturé d'histoire sur six décades.

Probablement plus court, plus près d'une réalité tangible et belle dans ses histoires qui font la vie, ce livre aurait pu m'enchanter. Dommage.

Bien à vous.

PGRenaud

Hello,

Le titre me rappelait quelque chose d'un auteur français bien connu ("Le petit chose" de M.Fournier).

La ressemblance s'arrête là en raison d'une différence fondamentale : des mémoires (inachevés) d'une jeune femme dont le privilège fut d'avoir un des patronymes semblable à l'un des plus grands "marketeur" du monde dans le domaine informatique.

Parti trop tôt, il semble qu'il est également détenteur d'une dette tardive mal réglée.

Elle sera réglée dans ce livre écrit par sa fille, reconnue sur le tard, certes, on peut le déplorer et cela fera, l'objet - compte tenu de l'un de ses noms composés - d'un succès mondial fulgurant bien qu'éphémère.

Ce tapuscrit se lit facilement avec au long des pages et des lignes un certain malaise.

On peut comprendre la rancœur de cette jeune femme, moins d'en faire état sinon étalage.

Cette jeune femme brillante (diplômée de l'Université de Harvard) doit semble-t-il, être passionnante dans ces exposés et analyses propres à son domaine d'expertise. Cependant, cela prend une tout autre dimension lorsque l'on est, par le hasard des "choses", de la lignée d'un homme remarqua (blement) égoïste et soucieux de sa légende. Oubliant au passage qu'une légende est toujours tragique. Finalement, sa vie fut brève, brutale, et tragique.

On comprend mieux le désarroi de cette jeune femme.

A la fin de ce livre, on a un goût amer, comme l'a voulu, semble-t-il l'auteur (re) mais n'apporte pas grand-chose sur la connaissance de cet homme singulier, parti de rien et construisant un empire. Si cette jeune femme avait été la fille d'Alexandre, je pense qu'il n'aurait pas été affublé de "grand" mais de père médiocre.

Finalement, ce livre est ennuyeux, souvent mal écrit (probablement par la traduction) et très grossier et complètement désespéré.

Un séjour chez un psy nous aurait évité la lecture de ce livre dont on ne parle (presque) plus sinon par ces quelques lignes tardives.

Bien à vous.

PGRenaud

Bonjour à tous,

Arpentant un rayon de la Fnac, sur la littérature étrangère, je suis séduit par la couverture et le titre proposé, sans prendre le temps de lire la jaquette du livre (la Quatrième page...).

Mal m'en a pris.

Cet auteur, au demeurant respectable, ne respecte pas son lecteur et la langue de Molière.

Que d'interjections grossières, de description sordide, de répétition dans le malsain.

Une certaine écriture habile et parfois un récit bien écrit mais souvent des répétitions et une certaine délectation dans le morbide.

330 pages pour comprendre une situation incompréhensible.

Déjà, le nom de l'auteur est sujet à caution (prénom et nom de femme pour un homme) et l'ancienne vie de l'écrivain (au passé militaire durant une époque peu glorieuse).

Je reste triste d'avoir lu ce livre et de savoir qu'il a (déjà) publié une vingtaine de romans de même facture.

Auteur et livre à éviter de peur se salir son âme et son fragile inconscient.

Bien à vous.

Pg Renaud.

Cher tous,

Je vous informe la publication d'un livre en trois langues

Bonne lecture

Bien à vous.

PGR

Bonsoir chers amis,

Comme certains, j'ai lu les ouvrages de ces prophètes de mauvaise augure où le pire viendra après le pire.

Mais le pire pour qui ?

Pour les occidentaux et ces chantres de la pensée catastrophiste calfeutré dans leur bureau moquetté et plaquardé de diplôme et de titres universitaires et de centre de recherche toujours plus prestigieux.

Comme il est facile de parler et disserter sur les catastrophes quelles qu'elles soient par le biais d'un livre, un article, un colloque ou un livre à succès.

Les collapsologues sont l'illustration triste et vaine de ces nouvelles pythies de la science qui font peur inutilement ou joue de cette peur collective.

La crise du COVID 19 n'avait pas été intégré par ces prospectivistes en herbe qui pense surtout vendre leur livre et en nombre afin de mieux déverser et détruire l'espérance.

Chers amis ne vous laissez pas entraîner par ces charlatans prévoyant l'avenir sans penser que ce dernier n'appartiens qu'à nous-même.

L'avenir ne se fait par le seul fait de notre agir, personnel et collectif. Que le climat change, que la société se détruise que le monde court à sa perte ...

La fin de l'Empire romain devrait nous donner une leçon...

Bien à vous.

PGR

Bonjour à tous,

Comme tout un chacun, je lis les journaux en ligne ou les nouvelles par internet et il semble émerger une idée sur l'après-crise. Comme si déjà le contexte particulier où nous vivons tous ensemble désormais nous conditionne et nous propose à réfléchir.

L'après-crise est un concept ancien voire très ancien car il permet aux hommes et aux civilisations à gérer une situation de conflit par une situation de croissance économique et sociale.

L'après-crise est un concept facile à comprendre mais difficile à mettre en place et les deux conflits mondiaux du siècle précédent nous montrent la complexité et la fragilité des outils (SDN, Nations Unis...) et la gestion économique (New Deal, Plan Marshall...).  Autrement dit, nous avons fait ce qui était possible de faire sans mesurer les conséquences de nos actes (2ème guerre mondiale et Guerre froide/empreinte carbone ...).

L'après-crise est géré par les dominants, les gouvernants mais peuvent être le fait de nous tous. Aussi, la sortie de crise est probablement une prise en compte ou en considération d'une crise des valeurs.

Le consumérisme effrénée, la production globalisé, les échanges financiers mondialisés, la circulation des biens et des personnes permanentes et au moindre coût. Ces quelques exemples nous montrent les habitudes que nous avons prises, que j'ai prise ! Demain et peut-être aujourd'hui, comment je vais réagir, agir, faire, consommer, vivre ?

La crise des valeurs n'est pas une remise en cause des valeurs mais leur remise à plat, la réelle place où nous la situons et comment à partir de là, je peux faire autrement ou différemment.

La réponse ne m'appartient pas et je m'invite comme vous à redéfinir notre présent/futur immédiat où l'après-confinement va nous amener. Tout attendre des pouvoirs publics serait un biais facile de nous dédouaner, il faudra nous engager à vivre autrement.

A vous lire.

Bien à vous.

PGR

Bonjour à tous,

Je ne vais pas parler du sujet dominant ni des causes et probablement pas des conséquences dont personne ne peut se hasarder de prévoir.

J'avais dans le passé effectué un travail de recherche sur la prospective, la dérégulation de l'économie et les ruptures socio-économiques que cela pouvait générer. Le site de recherche suivant vous donnera l'étendu de ces recherches.

https://www.researchgate.net/profile/Francois_Domergue

Au-delà des recherches, au-delà des spéculations diverses, au-delà des faits observés, nous voyons se dessiner une nouvelle ère. Elle n'a pu être prévue par personne car personne n'a prévu ce qui nous arrive actuellement.

Les discours guerriers, de revanche, de maintien d'un système économique ou son démantèlement, tous cela importe peu !

Il y a matière à la réflexion silencieuse et personnelle.

Demain, je vivrais comment et pourquoi et selon quoi ?

Comme je n'ai pas la réponse, je me réfugie dans la philosophie (Arendt, Merleau-Ponty, Pascal, Montaigne, etc...) et dans l'analyse complexe de la valeur des choses d'Edgar Morin ou encore de la destruction créatrice de M. Schumpeter. Ce sont mes références, vous avez certainement les vôtres et c'est super !

L'essentiel est de réfléchir vous-dis, car demain, c'est l'inconnu.

Certains vous diront ou parleront d'effondrement (avec tristesse ou allégresse selon votre degrés d'égoïsme ou de bêtise), d'autres vous dirons que tout sera comme avant, d'autres encore vous parlerons d'une autre société.

Que peut-on savoir de demain ?

Demain ne nous appartient pas, et nous devons nous suffire d’aujourd’hui.

Pour ma part, j'observe le silence assourdissant des religions monothéistes et notamment celle se prévalant "Universelle" et récemment entachée de tant d'ignominie sur les enfants et des "comportements inappropriés". Je n'irais pas plus loin tant cela m’écœure, le dernier en date relevant du fondateur de l'Arche ...

Leurs édifices sont vides, leurs paroisses désertées, les rituels suspendus, les processions interrompu, il ne reste qu'un téléphone vert pour vous donner l'absolution ! Vaste programme !

Je passe mon chemin et pour ma part, reviens vers l'essentiel, la Bible.

Que me dis aujourd'hui ce livre de vie expurgé des interprétations des apprentis religieux et professionnels de la débauche.

Siracide 30, 14-20

"Mieux vaut un pauvre en bonne santé et de robuste constitution. qu'un riche dont le coeur est atteint.

Une robuste santé vaut mieux que tout l'or du monde..."

Pour les rétifs de la religion.

Hannah Arendt - La vie de l'esprit (pp.67)

"Le moi pensant est activité pure et, par conséquent, sans âge, dépourvu de sexe, sans qualité et sans histoire personnelle."

Ou encore pour les chercheurs de vie dont je suis.

Edgar Morin - Vers l'abîme -

"L'ensemble de la société est assujetti à la logique de la machine artificielle, fondée sur la rationalisation et l'hyperchronométration du temps, d'où une tendance en réaction, à fuir dans les loisirs et les vacances. (...) Le futur lui-même est en crise: il n'y a plus de prédiction possible sinon des hyptothèses, des scénarios. Le futur devient inconnu, le devenir est problématisé et le sera à jamais (Patocka) (...) Dans l'être humain, des aptitudes auto-transformatrices se réveillent en cas de crise, quand les choses rigidifiées se disloquent, face aux périls (...) Il faut changer de voie pour un nouveau commencement"

Autrement dit, cherchez vous même ce que vous êtes avec vos mots, vos sensibilités, vos convictions quelles qu'elles soient ! Il n'y a pas de mauvaise ou bonne conviction et chassez de vos esprits ces esprits (pauvre en réflexion) pétris de jugement et d'orientation.

Cette période de confinement est propice (hors travail chez soi ou télé-travail) et un retour à des valeurs familiales, d'amitiés, de parole simple et d'espérance vers une ère nouvelle.

Bien à vous.

PGR

Bonjour;

Je reviens bouleversé dans ce blog où j'ai tant écrit et réfléchi à ce que je pouvais dire par des mots (ou tout au moins essayé).

Je suis bouleversé car j'avais des certitudes et la lecture des mémoires de Monsieur Edgar Morin m'aide grandement pour comprendre la réalité des choses.

Cependant, je parlais de certitude au pluriel et au singulier car je croyais à une certaine morale sinon conscience. Qu'en est-il aujourd'hui ?

Je parcours l'actualité religieuse est je suis abasourdie par des multiples révélations sur des hommes dont l'audience et le respect de leurs actions est tragiquement salies, je vous passe quelques liens pour en apprécier la teneur et mon désarroi :

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/02/22/jean-vanier-le-fondateur-de-l-arche-accuse-d-abus-sexuels-sur-plusieurs-femmes_6030479_3224.html

https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/12/22/abus-sexuels-au-sein-de-l-eglise-une-puissante-congregation-comptabilise-au-moins-175-victimes-mineures_6023791_3224.html

https://www.lemonde.fr/societe/article/2013/05/18/operation-verite-pour-les-freres-de-saint-jean-eclabousses-par-les-scandales_3313590_3224.html

https://www.lemonde.fr/societe/article/2011/12/01/un-dominicain-nomme-par-le-vatican-pour-assainir-la-communaute_1611886_3224.html

Et je pourrais allonger la liste des pratiques et des écarts "non convenable"...

J'étais d'une époque où la religion était un chemin, un guide, ou un repère.

Force est de constater que la structure qui l'a constitue est pourrie.

Cela ne me fait plaisir de vous exposer cela et je me réjouie de voir la beauté de la jeunesse et leur idéal.

Comment sommes-nous tombé si bas ?

Jamais depuis la création de ce blog, je n'ai été confronté à un tel dilemme, à savoir ce gâchis monumental de la conscience religieuse ou tout du moins celle représenté par les autorités ecclésiastiques de Rome !

Jamais dans mon blog, je ne m'étais laissé aller à divaguer sur la religion mais depuis le film "Grâce à Dieu" et les émissions sur Arte sur les dérives de la religion et des prêtres, je n'ai pu me résoudre à me taire.

Parler n'est pas agir mais se taire c'est se faire complice d'une tragédie d'une génération qui ont (pratiquement) vénéré "ces" maîtres qui ne sont en réalité que des hommes de basse mesure.

Je reste encore sous le charme des mémoires d'Edgar Morin qui retrace presque 100 ans de vie chaotiques et riches de petits et de grands événements dans le souci d'une vérité plus juste.

Quel malheur que les chantres de la vérité, à savoir les chrétiens se soient laissés abusés par des faussaires aux allures de pasteurs. Ce sont devenus des mercenaires dans une bergerie ouverte au grand vent. Qui sait si le souffle de l'Esprit Saint reprenait ses droits !

Bien à vous.

PGR

Hello,

Voilà un homme visionnaire.

Écoutez-le !

Lisez-le !

https://www.google.com/search?client=firefox-b&source=hp&ei=FTIJXI2RI4-RrgSUzLTAAg&q=pierre+rabhi+livre&oq=pierre+rhabi&gs_l=psy-ab.1.1.0i10l10.2184.4323..6511...0.0..0.168.1440.4j8......0....1..gws-wiz.....0..0.0Fm08FifS2E

Bonne lecture, pour ma part, c'est fait.

Bon avenir.

Bien à vous.

PGR

Hello,

Nous assistons depuis quelques semaines à un retournement sévère des marchés notamment auprès des technologiques. Celles-ci avaient atteint des des niveaux hors de propos, probablement que nous retournons sur terre. Les investisseurs sont inquiets mais également les acteurs comme les GAFA, les entreprises de manière générale.

Finalement, retournement du marché ou début d'un Krach, si cela semble le cas, il est lent et probablement plus structurel que conjoncturel. Autrement dit, des faits économiques comme l'essoufflement du marché chinois, les atermoiements de l'Europe et les dérives budgétaires des États-Unis sont les premiers éléments qui viennent à l'esprit.

Il y en a d'autres.

Peut-être que tout simplement nous changeons d'ère et de civilisation, du "tout" consumérisme" nous migrons vers des circuits courts et un mode de vie plus frugal. Je vous invite à vous inquiéter en lisant ces quelques lignes de ce monde qui s'en va.

Celui qui se profile semble plus discret mais non moins actif.

1/ Le monde qui s'effondre

https://www.wansquare.com/012-25225-Chute-des-marches-simple-correction-ou-debut-d-un-krach.html

2/ Le monde qui se profile

https://www.lesechos.fr/19/04/2013/LesEchos/21421-043-ECH_la-frugalite--nouveau-modele-d-innovation.htm

Bien à vous.

PGR

Hello,

Eh oui, Apple est arrivé à son apogée, elle dépasse désormais toute les autres entreprises de par le monde en termes de valeurs boursières mais non pas en termes de bénéfices.

Quelle valeur cela peut-il avoir ?

Qui peut en profiter ?

Cette valeur a-t-elle encore du sens ?

L'avenir nous le dira.

Bonne vacances. Good holidays.

See you.

PGR

Hello,

This is the news !!!

Wouaouh!

Hello everyone,

Bonjour tout le monde,

La nouvelle paraît surréaliste mais nous sommes à quelques 50 milliards de $ de cette gageure.

Apple est en passe de devenir la première entreprise a produire une capitalisation boursière d'un trillion de dollars.

Certes, ce membre du GAFA n'est pas à son premier record, mais cela paraît étonnant de le voir.

Les techs deviennent de plus en plus côtés et donc en phase avec un marché en mutation.

Cette mutation s'inscrit dans un changement de comportement et d'approche dans le processus de transition énergétique.

Je vous livre le texte en anglais, assez facile à lire sur ce sujet.

"Ashraf Eassa, The Motley Fool Motley Fool•June 5, 2018 

One thing that investors new to the stock market often don't look at is a company's market capitalization, which is the "total market value of a company's outstanding shares of stock." This is a much more meaningful metric than, say, stock price, because it tells you how the market values the business. 

If, as an investor, you think that a company's business could (or should) be worth more than its current market capitalization, then the shares could represent a buying opportunity. Conversely, if a company's market capitalization seems too high relative to its business opportunities, then it could mean that it's time to sell the stock.

Apple's iPhone 8 Plus (left) and iPhone 8 (right) in the color red.

Image source: Apple.

Apple (NASDAQ: AAPL), arguably the most innovative technology company in the world, is on its way to commanding a market capitalization of $1 trillion, which would make it the first publicly traded company to ever achieve that market value. Assuming a diluted share count of around 5.07 billion (note that Apple has been aggressively buying back stock so this number comes down a lot each quarter), Apple will hit a $1 trillion market capitalization when the stock hits approximately $197.23 per share.

That's only a 3.6% rise from where the stock last closed as of this writing. 

What would Apple hitting this milestone mean for you, the current or prospective Apple stockholder? Let's find out. 

Not as much as you'd think

If Apple does manage to hit a $1 trillion market capitalization soon -- something that I think will happen shortly after this article goes to publication, if it hasn't already -- then it'd be good for a lot of headlines in the financial press. It'd also be a nice psychological milestone for both many individual investors (I doubt that institutional investors -- that is, the folks who run mutual funds and hedge funds -- would care much). 

However, hitting that milestone wouldn't fundamentally change anything about Apple's business. Apple's investments in product and technology development won't change as a result, demand for its products isn't likely to be affected by the company hitting that historic milestone, and, most importantly, the investment thesis won't change much.

Moreover, the positive press coverage that Apple and its stock might get could be short-lived, because if the stock fails to hold above that $1 trillion market cap level, then the chorus of headlines cheering Apple on for achieving that business valuation could quickly become chants of doom and gloom. 

What really matters

As either an investor or potential investor in Apple, what you should really care about aren't arbitrary market capitalization milestones. Instead, you should keep your eyes laser focused on Apple's revenue and profit growth. Right now, current analyst consensus calls for the company to enjoy 13.8% revenue growth during its current fiscal year and just 4.3% revenue growth in the following year.

Earnings per share, according to analyst estimates, should be $11.49 this year, up 24.8% year over year and $13.27 in the following year, implying another 15.5% growth. This figure is surely boosted by the expectation that Apple will gobble up a lot more of its shares after recently announcing a $100 billion buyback program, reducing share count and increasing earnings per share.

So as long as the company can deliver on these growth expectations (or, ideally, exceed them), Apple stock should continue to move on up and it could leave the $1 trillion market cap milestone solidly in the rearview mirror in the years ahead. But if Apple's business performance falters, $1 trillion could represent a multiyear peak for the company's value."

https://finance.yahoo.com/news/apple-track-become-first-trillion-130000878.html

 

Étonnant non ?

Bien à vous.

PGR

Hello,

La technologie au service de la performance.

La magie.

Voyez et entendez...

Alors ?

Magique ? ou Magic ?

Bien à vous.

PGR