Bonjour à tous,

Nous sommes face à des changements de paradigme où les mots s'entrechoquent.

Voici que le luxe condescend à fréquenter le vulgaire...Nous avons les concepts de "massmarket" qui donne une idée du marché de masse ou pour les masses et finalement, la société de consommation dans son ensemble et le "Prestige" qui regroupe des acceptions variées selon les produits et les CSP. Nous associons les deux et cela donne "Masstige" et donc vous pouvez avoir des grands couturiers (Karl Lagarfeld ou le créateur français Balmain) qui vont fabriqué un temps pour une marque comme H&M ou autres...

Quand la génération Y, l'origine est le terme anglais "Why" et donc cette génération aime savoir et comprendre ce qui l'entoure. Les Y ne sont pas impressionnable et n'hésite pas à poser des questions sur les méthodes de fabrications ou l'origine d'un produit ce que les générations justes antérieures ou un peu avant n'auraient même pas imaginés.

Ce que l'on appelle aussi des "millennials" (mais qui ne savent pas encore qu'ils vont vieillir) sont adeptes du "lifestyle", du "premium" et du "low-cost". Tout, très vite et pas chère.

Nous devons répondre à cette quête de l'immédiat sous peine de désenchentement globaux d'une génération attachante.

Bien à vous.

PGR

Bonsoir à tous,

La réalité est une matérialité palpable à l'inverse d'une illusion, fruit d'un imaginaire débridé.

L'actualité est intéressante actuellement.

Un artiste qui se fait appeler Bansky et dont les oeuvres sont estimées à des millions de $, n'a rapporté que quelques $ à son auteur sur les rues newyorkaise où celui-ci exposait quelques unes de ces compositions.

L'estimation spéculée se retrouve face au réalisme des passants dont les artifices de la dérision et de la démesure ne les occupent guères.

Autrement dit, une oeuvre surrévaluée confronté au réel ne vaut que ce qu'elle est. Pour celles de Bansky, peu de choses...

(http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/10/14/03015-20131014ARTFIG00502-banksy-brade-ses-oeuvres-a-new-york.php)

Dans un autre registre, on apprend que les Etats sont en faillite, les administrations aussi (Cf. le Shutdown américain...) et que les villes commencent à faire l'objet d'appétit de la part des investisseurs.

L'une des cités les plus emblématiques quoique pas la mieux gérée, fait l'objet d'une évaluation et pas des moindres.

La ville de Paris serait estimée à 706,885 milliards d'euros selon ouvrage intitulé Que vaut Paris? (Éditions du Mécène). Un prix qui n'inclut pas les monuments historiques comme la Tour Eiffel...

(http://www.lefigaro.fr/immobilier/2013/10/14/05002-20131014ARTFIG00482-combien-couterait-paris.php)

Comme quoi, une ville ou des graffitis, rien ne vaut un kilogramme de pomme de terre, ceux-ci sont bien réels et peuvent être dégustés, le reste semble illusoire ou une réalité bien éphémère.

Bien à vous.

PGR

Bonjour,

La France fait parler d'elle, enfin, la presse française et quelques hommes politiques, sur un sujet sensible : les impôts !

Déjà, un comique du nom de Fernand Raynaud faisait rire toute la France sur ce thème mais aujourd'hui, on ne rit plus guère.

Sur le prétexte d'une crise économique et d'un redressement des finances publiques de la France, des médias et quelques hommes politiques croient pouvoir resserrer les liens sociaux en invoquant des adjectifs fort dégradant pour la personne désignée.

Parlons clair, on peut être en droit d'aimer ou de ne pas aimer Gérard Depardieu mais cela ne donne pas le droit à l'insulte gratuite !

Posons-nous plutôt la question de savoir POURQUOI, des hommes et des femmes quittent le territoire français ?

Si l'on veut être attractif, il ne suffit pas qu'un pays soit une zone d’investissement, notamment en matière de  dette, mais nous en reparlerons dans une autre rubrique. (http://www.lemonde.fr/marches-financiers/article/2012/12/06/les-investisseurs-n-ont-jamais-ete-aussi-bienveillants-avec-la-france_1800852_1656981.html).

Bonne journée à tous.

PG. Renaud.