Bonsoir à tous,

Revenant de quelques jours de repos, j'apprends effaré qu'une crise ne cesse de croître, à l'image et à la ressemblance d'une autre - déjà - qui s'était déroulé sur les rives des Balkans avec la suite funeste que l'on connaît.

Une carte pour mieux comprendre.

Cette crise est grave car elle relate une croissance voire une dérive dont personne ne veut prendre la mesure et surtout la portée.

Que les russes veulent contrôler cette région, on peut le comprendre, que les USA souhaitent le contraire on peut le comprendre aussi, car cela ne reflète que la suite logique d'une guerre froide qui ne dit pas son nom.

Mais l'Europe ?

Elle cherche par tout les moyens d'endiguer ce drame humain d'abord et financier ensuite.

Ce président qui se proclame toujours président alors qu'il parle et se déplace d'un pays voisin et ami (la Russie) et qui a pillé selon les informations que nous pouvons avoir les "caisses de l'Etat".

Je reconnais que tout cela est "flippant" et pourtant, un peu facile.

Retenez un peu ce principe.

A qui profite le crime de sécession de la Crimée (largement pro-russe) et l'Ukraine (pro européenne) ?

Je ne suis pas sûr que les uns et les autres le sachent très bien.

Ce qui est sûr c'est le caractère délétère du conflit et les conditions d'une sortie de crise honorable.

Les USA donnent les gagent de "Missi Dominici" et l'on reste circonspect sur leurs motivations réelles.

Les USA ne veulent qu'une chose, dominer et rester les premiers et le reste...

Pour les Russes, c'est une question d'image et de survie de leurs condominium "ex soviétique".

Les Européens sont "embourbés dans leurs interminables incompréhensions mutuelles.

Et dont, je le répète  : A qui profite le crime ?

Certainement à d'autres qui agissent selon des codes et des rites dont les journaux ne parlent pas et ne parleront jamais.

A vos réflexions pour ceux qui savent et bonne nuit pour les autres.

Bien à vous.

PGR