• Le marché mondial de la dette dépasse 100.000 milliards de dollars

    Bonjour à tous,

     

    Enfin une bonne nouvelle !

    Nous sommes totalement endettés et nous ne le savons même pas !

    Bientôt un Krach obligataire ?

     

    Lisez plutôt  :

     

    "Les gouvernements ont été parmi les plus importants émetteurs d'obligations pour tenter de relancer la croissance de leur économie.

    Le montant de la dette négociable sur les marchés financiers à l'échelle mondiale a grimpé de plus de 40% depuis les premiers signes de la crise financière, pour atteindre le chiffre faramineux de 100.000 milliards de dollars (100 trillions), selon le dernier rapport trimestriel de la Banque des règlements internationaux. C'est près de deux fois la valeur des entreprises cotées dans le monde, selon Bloomberg.

    Sans surprise, les gouvernements ont été parmi les plus importants émetteurs d'obligations, empruntant à tour de bras pour tenter de relancer la croissance de leur économie. Le montant de la dette publique en circulation sur les marchés a ainsi fait un bond d'environ 80 % entre 2007 et 2013, selon l'institution basée en Suisse. Le seul marché des bons du Trésor américain a plus que doublé de taille pour dépasser les 12 trillions de dollars. Avec l'assèchement du crédit bancaire, il y a également eu une explosion des émissions d'entreprises. Profitant de la chute des taux d'intérêt, les sociétés se sont massivement tournées vers les marchés obligataires. Le marché mondial des obligations d'entreprise dépasse ainsi les 21 trillions de dollars, selon des données compilées par Bloomberg."

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/03/10/20002-20140310ARTFIG00059-le-marche-mondial-de-la-dette-depasse-100000milliards-de-dollars.php

    "Actualités

    L’encours de dette mondiale franchit le cap des 100.000 milliards de dollars

    Par Pierrick Fay | 10/03 | 06:00 | mis à jour à 08:34

    Il a été multiplié par 2,5 en à peine douze ans. Un niveau explosif qui risque de peser sur la croissance et qui complique la tâche des banques centrales.

    100.000 milliards de dollars : le montant astronomique de la dette dépasse largement le niveau du PIB mondial, estimé autour de 75.000 milliards. Cette dette inclut les obligations des Etats et les dettes cotées des entreprises et des sociétés financières, mais pas celle des ménages. Une dette mondiale qui s’est envolée ces dernières années. Mi- 2007, avant la crise, elle était de 70.000 milliards de dollars. Elle n’était que de 40.000 milliards en 2000, selon les chiffres dévoilés ce matin par la Banque des règlements internationaux (BRI).

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    L’explication ? «  C’est une conséquence du ralentissement économique et de la façon dont il a été compensé, explique l’économiste Jean-Paul Betbèze. Il y a d’abord eu les aides à la finance aux Etats-Unis pour éviter l’effondrement du système après la crise des “subprimes”. Ensuite, c’est lié à la montée de la dette publique. Il y a eu moins de croissance, moins de rentrées fiscales et, à l’inverse, beaucoup plus de mesures d’aide et de soutien à l’économie et plus de déficit. La montée de la dette mondiale, c’est le prix de la crise. » Ce que confirme le rapport de la BRI. L’encours des titres de dette souveraine a bondi de 80 % en six ans, à 43.000 milliards de dollars en juin 2013. Autrement dit, la dette publique de chaque humain se monte à 6.142 dollars. Un exemple parmi d’autres, l’endettement public espagnol est passé de 36 % du PIB à 84,1 % entre 2006 et 2012.

    Un pilotage délicat

    Mais le montant des dettes des entreprises non financières a progressé à un rythme comparable, pour dépasser les 10.000 milliards de dollars, constate la BRI, même si « elles étaient parties d’un niveau plus bas ». Dans un contexte de crise financière, les banques mondiales ont en effet réduit le crédit aux grandes entreprises, qui se sont tournées vers les marchés financiers pour trouver du financement.

    A 43.000 milliards de dollars, le montant de la dette d’Etat dépasse 72 % du PIB estimé pour cette année. C’est une moyenne. Certains franchissent allégrement le cap jugé fatidique de 90 %. « Des études du FMI et de la BCE montrent que l’on peut vivre avec 90 % de dettes, tempère Jean-Paul Betbèze. Mais il y a une condition : accepter une croissance et une inflation modestes pour que les taux d’intérêt ne remontent pas trop, pour ne pas asphyxier la reprise. C’est la stratégie de la Fed. Quant à la BCE, elle a réussi à faire baisser les taux des pays les plus fragiles, comme l’Espagne ou l’Italie. Pour eux, c’est un phénomène beaucoup plus important que la hausse de l’euro. » Mais, pour cela, il faudra faire en sorte que le loyer de cette dette soit le plus bas possible sur longue période. Un pilotage délicat pour les banques centrales.

    Dans le même temps, les Etats, notamment en Europe, sont incités à être plus efficaces, à diminuer les dépenses publiques pour réduire petit à petit la dette dans la durée. « L’important, c’est que ce niveau se stabilise. On le voit aux Etats-Unis, mais aussi en Europe, estime Jean-Paul Betbèze. Nous n’avons pas fini de payer cette crise, mais c’est préférable à une solution d’effacement de la dette, qui serait synonyme de crises, de tensions sociales, etc. »"

    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203359701814-l-encours-de-dette-mondiale-franchit-le-cap-des-100-000-milliards-de-dollars-655639.php

    "Le montant de la dette mondiale s'est envolé avec la crise... Son encours a ainsi été multiplié par deux et demi en douze ans, notamment sous l'effet de la crise financière de 2008, pour atteindre le chiffre inédit de 100.000 milliards de dollars à la fin juin 2013 ! Un montant qui dépasse désormais le PIB mondial, qui s'élève à environ 75.000 milliards de dollars.
     
    Flambée de la dette publique, avec la crise
     
    Et encore! Cette dette, calculée par la Banque des règlements internationaux (la “banque centrale des banques centrales”) inclut la dette des Etats et les dettes cotées des entreprises et des sociétés financières, mais pas celle des ménages ! Mi-2007, avant la crise des “subprimes”, la dette mondiale était de 70.000 Mds$ et en 2000, elle plafonnait à 40.000 Mds$, note la BRI. Cette spirale haussière est en grande partie liée à la flambée de la dette publique, la crise de 2008 ayant obligé les Etats à intervenir massivement pour sauver leurs systèmes financiers de la défaillance (Etats-Unis (Shenzhen: 000938.SZ - actualité) , Europe), ou pour soutenir leurs économies face au ralentissement de la croissance mondiale (Chine, Japon...) L'encours des titres des dettes souveraines a ainsi bondi de 80% en six ans, à 43.000 Mds$ en juin 2013. Un niveau qui fait peser sur chaque être humain une dette publique de 6.142$ ! Parallèlement à la dette des Etats, la crise a entraîné un assèchement du crédit bancaire qui a forcé les entreprises à se tourner davantage vers les marchés obligataires pour se financer.
     
    Cinq ans après le début de la crise, le bout du tunnel sera long à atteindre, estiment les experts... Cela dépendra de la capacité des Etats et des banques centrales à maintenir des taux bas, à contenir l'inflation et à créer les conditions d'une relance durable de l'économie mondiale, seule capable de permettre de résorber à long terme cette montagne de dettes......"

    http://fr.finance.yahoo.com/actualites/economie-dette-mondiale-flambe-%C3%A0-102000912.html

     

    L'Argent Dette de Paul Grignon (Money as Debt FR) from Bankster on Vimeo.

     

     

    Seules les dettes des Etats et des entreprises ne sont pris en considération, et donc, la dette des ménages ...

    Bonne semaine.

    Bien à vous.

    PGR

     

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