• Bonjour,

     

    Un ami québécois m'envoie cette missive virtuelle.

    A lire et relire dans ce monde de brute.

     

    "Un apophtegme est un précepte, une sentence, une parole mémorable ayant valeur de maxime, mais tu sais déjà..." 

     

    Exemples :
     

    Quand un couple se surveille, on peut parler de "communauté réduite aux aguets".

    Les socialistes ont eu tort de venir au pouvoir. Ils auraient dû faire comme Dieu : ne jamais se montrer pour qu'on continue à y croire (Coluche).

     

    Un mec est venu sonner chez moi pour me demander un petit don pour la piscine municipale, je lui ai donné un verre d'eau. 

      

    Cette nuit un voleur s'est introduit chez moi, il cherchait de l'argent !
    Je suis sorti de mon lit et j'ai cherché avec lui.

      

    La seule fin heureuse que je connais, c'est la fin de semaine... 

      

    De chez moi au bar il y a 5 minutes, alors que du bar jusque chez moi il y a 1 h 30 !.. 

      

    L'ironie c'est quand tu rentres en prison pour vol de voiture et que tu sors pour bonne conduite... 

      

    Le travail d'équipe est essentiel. En cas d'erreur, ça permet  d'accuser quelqu'un d'autre ! 

      

    Les parents, c'est deux personnes qui t'apprennent à marcher et à parler, pour te dire ensuite de t'asseoir et de te taire ! 

      

    Avant je savais bien écrire et, un jour, j'ai eu un téléphone portable : « é depui il c produi kelk choz 2 bizar... »

      

    Les statistiques, c'est comme les bikinis : ça donne des idées mais ça cache l'essentiel ! 

      

    J'ai dit à ma femme que j'avais envie de la tuer, elle m'a dit que j'avais besoin de consulter un spécialiste. J'ai donc engagé un tueur à gages. 

      

    Le Père Noël est le seul barbu qui peut survoler les États-Unis sans problèmes. 

      

    L'être humain est incroyable : c'est la seule créature qui va couper un arbre pour en faire du papier et écrire dessus: "Sauvez les arbres" !" 

     

     Bonne journée.

     

    Bien à vous.

     

    PGR

     

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  • Hello,

     

    This is an artist, a great painter...

    So, see and appreciate...

    If you want other informations, go to http://www.davidgrayart.com/#!workshops/cdq3

    See you.

    PGR

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  • Bonjour à tous,

     

    Voici un peintre bien singulier qui nous vient de Belgique.

    Après des études d'ingénieur et de photographie, il devient peintre sur le tard à l'instar de son père, déjà peintre de métier.

    Il développe un style où le chatoyant cohabite avec les couleurs printanières.

    Laissez vous charmer par ce voyageur romantique et attachant.

    Bien à vous.

    PGR

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  • Hi,

     

    Watch and watch again ...

     

     

    And so ...

    Bien à vous.

    PGR

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  • Bonsoir,

    L'écriture est éternelle mais leurs auteurs éphémères.

    Merci Leoned.

    http://un-mot-de-billet.eklablog.com/j-ai-la-tentation-de-vous-dire-ce-que-a47453482

    http://un-mot-de-billet.eklablog.com/font-chier-tous-ces-cons-a-mourir-avant-moi-a47453546

     

    De la haut, tu nous dis quoi ?

    Bien à toi.

    Bien à vous.

    PGR

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  • Bonsoir,

     

    La France est un pays peu enclin à la modestie.

    La France est un pays peuplé de râleur.

    La France se croît le nombril du monde.

    La France est reconnue pour sa culture.

    La France n'est plus reconnue comme une puissance culturelle.

    La France c'est tout cela et bien d'autres choses...

    Un jour, il y a quelques années, un jeune garçon découvrit l'art de la joaillerie et fit ses armes à Paris puis Londres...

     

    Sa bio

     

    René Jules Lalique (né le 6 avril 1860 à Aÿ dans la Marne et mort le 1er mai 1945) est un maître verrier et bijoutier français.

    Il s'est rendu célèbre par ses créations étonnantes de bijoux, puis de flacons de parfum, de vases, chandeliers, horloges et, à la fin de sa vie, de cabochons de voitures. L'entreprise qu'il a fondée fonctionne toujours. Son nom est resté attaché à la créativité et la qualité, car il a toujours su dessiner des objets fastueux mais restant discrets.

    À seize ans, il commence son apprentissage avec un joaillier parisien, Louis Aucoc (en). Il suit ensuite, de 1878 à 1880, les cours du Sydenham Art College (en) à Londres. Après être revenu en France, il travaille pour Aucoq, Cartier, Boucheron et d'autres. Il découvre l'art japonais contemporain à travers les expositions universelles de 1867 et 1878, ce qui sera pour lui une source d'inspiration.

    En 1882, il devient dessinateur concepteur indépendant pour plusieurs maisons de joaillerie de Paris (Georges Fouquet, Aucoq, Hamelin, Boucheron, Henri Vever…). Il lance quatre ans plus tard, en 1885, sa propre joaillerie.

    En 1887, il épouse à Mâcon Marie Louise Lambert dont il aura une fille, Georgette en 1888. Cette dernière décèdera en 1910. Le couple se sépare en 1893 et le divorce est prononcé en 18981.

    En 1890, il rencontre Alice (Augustine dite Alice) Ledru qu'il épousera en secondes noces en 1902 et avec qui il aura une fille, Suzanne Renée Ledru (1892) et un garçon, Marc André Lalique (1900). En 1920 il se liera avec Marie-Jeanne Anère avec qui il aura deux autres enfants : Raymond Lalique (né en 1925) et Renée Lalique (née en 1927).

    Lalique est reconnu comme un des concepteurs de bijoux les plus importants de l'Art nouveau français ; en créant des pièces innovantes pour la nouvelle boutique de Samuel Bing à Paris, Maison de l'Art nouveau. Il commence à exposer ses œuvres à son nom dès 1894, notamment au Salon des artistes français de 1897 et 1898. Le grand verrier Émile Gallé le découvre à l'occasion du premier et en fait un éloge appuyé. Son stand à l'exposition universelle de 1900 à Paris remporte un franc succès.

    Tout en gardant les sources d'inspiration de l'Art nouveau, faune et flore, dont le paon, divers insectes et parfois un bestiaire fantastique, il innove en utilisant des matériaux peu usités pour la bijouterie à cette époque : le verre, l'émail, le cuir, la corne, la nacre, et en préférant souvent les pierres semi-précieuses aux pierres précieuses. L'introduction du volume dans la bijouterie est facilitée par ses connaissances en modelage. Il dessine ses modèles, les faisant réaliser par une équipe de ciseleurs, sculpteurs et émailleurs qu'il recrute avec soin.

    De nombreuses femmes de la noblesse, de la bourgeoisie et du spectacle se sont mises à porter ses bijoux extraordinaires, telles la marquise Arconati-Visconti, la comtesse de Béarn, la princesse de Guermantes, Mme Waldeck-Rousseau, Sarah Bernhardt pour laquelle il réalise en 1902 son costume de scène pour la reprise de la pièce Théodora au Théâtre Sarah Bernhardt.

    Lalique fut l'unique artiste moderne dont Calouste Gulbenkian devint le client et l'ami. Ce dernier acquis le fameux Pectoral à la libellule (vers 1897-1898), chef-d'œuvre très admiré à l'Exposition universelle de 1900, qu'il prêta à la tragédienne Sarah Bernhardt. Quelques bijoux Lalique visibles au musée Calouste-Gulbenkian de Lisbonne :

     

     

    Le maître verrier

    Il s'intéresse tôt au verre comme matière artistique et il installe dès 1890 un atelier de verrerie où il commence à expérimenter ses possibilités, dans un premier temps dans la bijouterie. Il en effectue des moulages et apprivoise la liaison verre-métaux. Ses premiers bijoux comportant cette matière sont exposés en 1895.

     
    Calice aux motifs viticoles

    Après avoir ouvert une boutique place Vendôme à Paris, il commence à concevoir en 1895 des flacons de parfums en verre, étant ainsi le premier à imaginer de commercialiser cet emblème du luxe et du raffinement dans un emballage tout aussi splendide. Il le fait aussi dans le but de produire de beaux objets en séries importantes, et donc de rendre son art accessible à un nombre croissant de personnes. Cette même année 1895, le musée des arts décoratifs de Paris fait entrer Lalique dans ses collections.

    En 1898, il installe un atelier de verrerie dans la propriété de Clairefontaine (Yvelines), lui permettant, en particulier, de mieux maîtriser le verre soufflé.

    En 1900, Lalique triomphe à l'Exposition universelle de Paris et en 1905 il ouvre un magasin, place Vendôme. En 1910, il crée pour le parfumeur François Coty, qu'il a rencontré en 1908, le flacon pour Ambre antique.

    En 1913, il rachète une verrerie à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne) et dès 1914, il convertit son usine à la fabrication d'objets médicaux destinés aux hôpitaux et aux pharmacies. En 1921, il construit une usine de verre en Alsace à Wingen-sur-Moder.

    Après la fin de la Première Guerre mondiale, les bijoux très colorés, très fantastiques de Lalique n'étaient plus dans l'air du temps. Le créateur le sent et décide de se reconvertir, et dès 1920, il se tourne vers l'Art déco. Ainsi le succédané néo-classique et géométrique Art déco remplace l'Art nouveau. Cependant, selon Olivier Mauny, le PDG de Lalique, ses créations vont ouvrir la voie à une industrialisation des objets d'arts, car une des meilleures manières d'inscrire le luxe et l'esthétisme au quotidien est d'en faire des objets usuels. Il va ainsi créer de nombreux objets tels que vases, coupes, chandeliers, flacons à parfum, bouchons de radiateurs pour la 5 CV Citroën (1925), décorations des wagons-restaurants de l'Orient Express (1929), décorations de la salle à manger des premières classes du paquebot Normandie (1936), fontaines des Champs-Élysées.

    En 1933, la première rétrospective est organisée au Musée des arts décoratifs de Paris.

    En 1934/1935, réalisation du retable et autres chefs d'œuvre dans l'église Saint-Matthieu, de la paroisse Saint-Laurent à (Jersey).

    En 1945, année de sa mort, son fils Marc Lalique démarre le travail du cristal.

    René Lalique est enterré dans le cimetière du Père-Lachaise, Paris, France.

    Innovations techniques

     
    Retable de René Lalique à l'église Saint-Matthieu, dans la paroisse Saint-Laurent à (Jersey).

    René Lalique ne se contente pas de créer des modèles, il construit aussi une usine à Wingen-sur-Moder afin de les fabriquer en grande série, et dépose des brevets sur de nombreuses techniques de fabrication (verre pressé-moulé, verre à double fond).

    Il crée également des effets esthétiques : le satiné Lalique, les verres opalescents.

    Œuvres de commande

     
    Colombe de la Chapelle de la Vierge Fidèle à Douvres-la-Délivrande

    L'excellence de ses créations, et le goût qu'il met dans œuvres, lui valent de réaliser le décor intérieur de plusieurs paquebots : l’Île-de-France, le De Grasse, le Normandie, ainsi que des trains de prestige l'Orient-Express et le Nice-Côte d'Azur express.

    Il réalise les vitrages ainsi que la colombe et les lampes liturgiques pour l'Église Saint-Nicaise de Reims. Inspiré par la chapelle de la Vierge Fidèle à Douvres-la-Délivrande, près de Caen, il livre aux sœurs qui lui ont commandé un crucifix, outre cette croix de verre, une porte de tabernacle, un retable, une lampe, deux colonnes lumineuses, les verrières du chœur, la table de communion et l'autel, entièrement en verre2.

    Réalisations monumentales

    René Lalique fut le premier à sculpter le verre dans de grandes réalisations monumentales :

    • Portes de l'hôtel d'Albert Ier à Paris,
    • Fontaines du rond-point des Champs-Élysées (démontées en 1958 et disparues depuis).
    • Décorations des wagons-restaurants de l'Orient Express, (1929), les luminaires et les panneaux Femmes, Joueur de pipeau et Raisin.
    • Portes du palais du prince Yasuhiko Asaka, aujourd'hui le Tokyo Metropolitan Teien Art Museum, (1932).
    • Décorations de la salle à manger des premières classes du paquebot Normandie (1936)

     

    Collections

    René Lalique ou la magie de la transparence

    René Lalique ou la magie de la transparence

    René Lalique ou la magie de la transparence

    René Lalique ou la magie de la transparence

    René Lalique ou la magie de la transparence

    René Lalique ou la magie de la transparence

    René Lalique ou la magie de la transparence

    Le mystère de la fontaine des Champs Elysées...

    Solution ?

    Qu'est devenue la fontaine signée Lalique de la galerie des Champs-Elysées? Elle a disparu, puis a été vendue tranquillement aux enchères par Christie's à Genève le 11 novembre 1990, pour la coquette somme d'1,2 million de francs suisses (cinq millions et demi de francs français). Un avocat parisien, Me Jean-Robert Bouyeure, vient d'assigner devant le tribunal de grande instance de Paris celui qu'il tient pour l'auteur du forfait, au nom de la copropriété des Arcades des Champs-Elysées.

    Réalisée en 1926. Ce passage marchand reliant l'avenue des Champs-Elysées à la rue de Ponthieu a été construit en 1925, avec l'ambition de rivaliser avec les mails de l'Opéra et de la place Vendôme. Le Lido s'y est installé en 1928, qui s'appelait alors la Plage de Paris. Deux fontaines en pâte de verre de teinte améthyste de 2,7 mètres de haut sur 1,65 mètre de diamètre, au décor de feuilles d'acanthe, ont à l'époque été commandées pour l'atrium à René Lalique, figure de l'art déco. Lalique les a exposées au salon des artistes décorateurs en mai 1926, avant leur installation. Aujourd'hui, ces deux pièces du patrimoine parisien ont disparu.

    Récemment, les copropriétaires de la galerie ont appris qu'une des deux fontaines avait été vendue aux enchères par Henri et André Saada en 1990, par l'entremise de Christie's, à une société new-yorkaise, DJL Trading. Or ce couple est détenteur d'un stand dans la galerie depuis 1961, à l'endroit même où la fontaine était installée. Reliée aux canalisations d'eau et scellée au sol, elle a été démontée avant d'être transférée en Suisse. Au passage, le socle en mosaïque a été terriblement abîmé.

    Faute de pouvoir porter plainte pour vol et recel, qui seraient prescrits, la copropriété réclame au couple Saada le remboursement du produit de la vente. Son défenseur, Me Antoine Attias, plaide la surprise: «La fontaine faisait partie du stand privé de mon client. Quand bien même elle aurait appartenu à la copropriété, au bout de trente ans de possession elle serait devenue sa propriété.» Il lui resterait alors à en faire la preuve, alors que le couple s'est installé dans la galerie en 1961.

    Négligence. L'objet a-t-il été sorti légalement de France? «Je suppose que Christie's a vérifié ce point.» On peut en douter étant donné la négligence de la maison de ventes dans le cas d'espèce. Au catalogue, elle indique comme historique: «Provenance: descellée de la galerie des Champs- Elysées». Ce qui, déjà, aurait dû éveiller les soupçons des experts et juristes de la maison. La notice assure que la galerie aurait été «démantelée», ce qui est totalement faux, avant de donner crédit à un conte à dormir debout: «La fontaine a été découverte» par le plus grand des hasards «dans un jardin de Paris». Pourquoi cet écran de fumée si le couple avait si bonne conscience?

    http://www.liberation.fr/culture/2000/12/12/cette-fontaine-lalique-fait-couler-de-l-encre_347437

     

    Ah !

    L'esprit français dites-vous ?

    Lalique est toujours Lalique !

    La France est devenu un pays de lucre.

    Merci Lalique.

    Adieu l'esprit français.

    Bien à vous.

    PGR

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  • Bonsoir à tous,

     

    Mon expérience musicale au sein du Conservatoire National m'a délivrée une information phénoménale.

     

    Son écriture musicale complexe et architecturale est le symptôme d'une vision.

    Son jeu est sidérant !

    Ses constructions musicales sont déroutantes !

    Sa sonorité est incroyable !

    Comment exprimer un sentiment d'un art si éphémère ?

    Sa bio :

     

    Born: May 3, 1886 - Rouen, France
    Died: May 30, 1971 - Meudon, France

    Marcel Dupré was the foremost French organ virtuoso of his time, an heir to the great tradition of Romantic French organ playing and composing. Dupré was famed for his ability to improvise; he also composed substantial works and was a widely traveled recitalist and an influential teacher.

    The extraordinary talent of Marcel Dupré arose out of an extraordinary childhood. Born in Rouen in 1886, Dupré was the only child in a home that has been described as ‘a temple of music’; his father Albert was a distinguished organist and choral conductor, his mother Alice a cellist and pianist, and the grandfather and aunt who shared the house were also professional musicians. At the back of the house was a large music room where Albert Dupré conducted the rehearsals of the local choral society. Dupré was only a few days old when his father’s teacher Alexandre Guilmant inspected the cradle and pronounced ‘He will be an organist’, and the child’s precocious musicality soon became apparent; within a few years another family friend, the organ-builder Aristide Cavaillé-Coll, was calling him le petit prodige. In 1896 the music room was enlarged to house an organ; this became an object of obsessive fascination to the young Marcel and determined the course of his future career. Under the early instruction first of his father, and later of A. Guilmant, he showed an unusual aptitude for concentrated study, and at the age of 11 he was appointed Organist of the church of Saint-Vivien in Rouen. When the music room was enlarged again in 1901, it was inaugurated on Dupré’s 15th birthday with a performance of a cantata which he had composed for the occasion. The next year he was admitted to the Paris Conservatoire where he was to win a succession of outstanding premiers prix in piano, organ and fugue; he was barely 20 when Widor appointed him as his assistant at Saint-Sulpice in 1906. In 1912 he made his official Parisian debut at the Salle Gaveau, and in 1914 he won the national composition prize, the Prix de Rome, with his cantata Psyché.

    After World War I, Marcel Dupré rapidly established his reputation as a concert artist, following his performance from memory of the complete organ works of Bach in a series of recitals in Paris. International success came first in England, and then in America, where the improvised organ symphony at his first recital was hailed in the press as ‘a musical miracle’; between 1922 and 1925 he spent almost six months of each year performing in the USA. In 1926 he was appointed Professor of Organ at the Paris Conservatoire, where he remained for 30 years, training all the great French organists of two generations. In 1934 Widor retired from Saint-Sulpice at the age of 89, and after 28 years as Assistant, Dupré became Titulaire in his own right - a post which he was to hold until the very day of his death on Whit Sunday 1971.

    As performer, teacher and composer, Marcel Dupré devoted his whole life to the organ. His performing career embraced a total of 2178 recitals all over the world, but was centred round Saint-Sulpice, where his liturgical improvisations attracted a crowd of admirers to the organ-loft every Sunday. His teaching activities extended far beyond his regular work at the Conservatoire, including a dozen theoretical textbooks and teaching editions of the organ works of the great masters in 21 minutely annotated volumes. During his earlier years he composed for many different media, but from the mid-1920's he concentrated exclusively on the organ, his extensive output for the instrument reflecting his own experience as recitalist, church musician and professor, and including large-scale concert works, plainsong-based liturgical music, and technical studies ranging from the elementary to the transcendental.

    During his lifetime the more sensational aspects of Marcel Dupré’s art - his spellbinding virtuosity and the supreme musical intellect which enabled him to improvise strict five-part fugues with miraculous ease - tended to obscure the poetic and spiritual side of his creative personality. Only a handful of his works took a place in the standard repertoire, and in the thirty years since his death little has changed. We hope that these recordings will help to redress the balance; the logic of Dupré’s musical thought and the subtle refinement of his harmonic language can often be fully appreciated only after repeated listening, and familiarity with the lesser-known pieces can only enhance our appreciation of the more popular works. This complete recording will present the complete picture of the musical legacy of a great musician, a musician who was not just a master craftsman but also a poet, a poet who could declare from the heart: ‘I love colourful harmonies, I adore them....For me, music should be a caress for the ear.’

    Works

    Organ Solo:
    Trois Préludes et Fugues op. 7 (1912); Scherzo op. 16 (1919); Fifteen Pieces op. 18 (1919); Cortège et Litanie op. 19 No. 2 (1921); Variations sur un Noël op. 20 (1922); Suite Bretonne op. 21 (1923); Symphonie-Passion op. 23 (1924); Lamento op. 24 (1926); Deuxième Symphonie op. 26 (1929); Sept Pièces op. 27 (1931); Seventy-Nine Chorales op. 28 (1931); Le Chemin de la croix op. 29 (1931); Trois Élevations op. 32 (1935); Angélus op. 34 No. 1 (1936); Trois Préludes et Fugues op. 36 (1938); Évocation op. 37 (1941); Le Tombeau de Titelouze op. 38 (1942); Suite op. 39 (1944); Offrande à la Vierge op. 40 (1944); Trois Esquisses op. 41 (1945)
    Paraphrase on the Te Deum op. 43 (1945); Vision op. 44 (1947); Eight Short Gregorian Preludes op. 45 (1948); Épithalame without opus (1948); Miserere Mei op. 46 (1948); Psaume XVIII op. 47 (1949); Six Antiennes pour le Temps de Noël op. 48 (1952); Vingt-Quatre Intentions op. 50 (1956); Triptyque op. 51 (1957); Nymphéas op. 54 (1959); Annonciation op. 56 (1961); Choral et Fugue op. 57 (1962); Trois Hymnes op. 58 (1963); Two Chorales op. 59 (1963); In Memoriam op. 61 (1965); Méditation without opus (1966); Entrée, Canzona et Sortie op. 62 (1967); Quatre Fugues Modales op. 63 (1968); Regina Coeli op. 64 (1969); Vitrail op. 65 (1969)

    http://www.bach-cantatas.com/Lib/Dupre-Marcel.htm

    "Marcel DUPRE
    3 mai 1886, Rouen

    Organiste, compositeur et pédagogue français

    Né dans une famille de musiciens, il étudie la musique avec son père, organiste à Saint-Ouen de Rouen. A huit ans, il donne son premier concert public, et à douze ans devient titulaire de l'orgue de Saint-Vivien. En 1902, il entre au Conservatoire de Paris, travaille le piano avec Louis Diémer, l'orgue avec Guilmant, la composition et la fugue avec Widor.

    Il obtient les premiers prix de piano (1905), d'orgue (1907) et de fugue (1909). En 1914, il est Grand Prix de Rome.

    Dès 1906, il est l'assistant de Widor aux orgues de Saint-Sulpice dont il deviendra titulaire en 1934. En 1909, il écrit l'une de ses premières compositions, sa Sonate pour violon et piano.

    De 1916 à 1922, il supplée Vierne à Notre-Dame et succède, dès 1926, à Gigout à la classe d'orgue du Conservatoire de Paris où il enseignera jusqu'en 1954.

    En 1920, Marcel Dupré inaugure sa carrière de concertiste par un cycle de dix récitals où il exécute de mémoire, l'intégrale de l'œuvre de Bach pour orgue. Il effectue des tournées dans le monde entier, notamment aux Etats-Unis où il fait la une du New York Times, avec une improvisation à Philadelphie d'une Symphonie en quatre mouvements sur sept thèmes donnés... Il donnera plus de huit cent concerts aux Etats-Unis.

    Réputé également comme professeur, il a été le maître de nombreux organistes de talent : Olivier Messiaen, Jehan Alain, Marie-Claire Alain, Jean Langlais, Jean-Jacques Grünenwald, Rolande Falcinelli...

    En 1947, il est nommé directeur du Conservatoire américain de Fontainebleau. En 1956, il est élu membre de l'Institut de France.

    Improvisateur de génie, son œuvre écrite est importante avec des messes, des œuvres symphoniques, des pièces pour piano, des mélodies, deux oratorios, et bien sûr ses pièces pour orgue, la Symphonie-Passion, Le Chemin de Croix, Le Tombeau de Titelouze, L'Offrande à la Vierge, Poème héroïque pour orgue et orchestre etc... Sa dernière composition pour orgue, Paraphrase sur le Te Deum, sera créée par Rolande Falcinelli après sa mort en juin 1972.

    Par ailleurs, il a annoté et doigté toute l'œuvre d'orgue de Bach, de Mendelssohn, de Schumann et de Franck ainsi que les concertos de Haendel. Il a également publié de nombreux ouvrages techniques.

    Ce grand musicien, homme simple et bon, donna son dernier concert en public à l'âge de 85 ans à l'Albert Hall de Londres."


    http://www.marceldupre.org/index-3.html

     

    Marcel Dupré, l'art de l'improvisation musicale

     

    Marcel Dupré, l'art de l'improvisation musicale

     

    Marcel Dupré, l'art de l'improvisation musicale

     

    Marcel Dupré, l'art de l'improvisation musicale

     

    Marcel Dupré, l'art de l'improvisation musicale

     

    Tout ceci n'est qu'un aperçu de ce génie de l'improvisation et du chromatisme polyphonique.

    Merci Monsieur.

    Bien à vous.

    PGR

     

     

     

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  • Vangelis ou le condor de la Mer Egée

     

    Bonjour à tous,

     

    Voici un compositeur qui me fait rêver depuis un longtemps déjà.

    Vangelis est un homme complexe.

    Voici sa bio.

     

    "Evángelos Odysséas Papathanassíou (en grec : Ευάγγελος Οδυσσέας Παπαθανασίου), plus connu sous le nom d’artiste Vangélis Papathanassíou (Βαγγέλης Παπαθανασίου), ou simplement Vangelis (Βανγέλης, diminutif d’Evángelos, à prononcer Vanguélis) (né le 29mars1943 à Volos en Grèce) est un musicien connu dans les domaines de la musique New age et électronique. Ses compositions les plus connues sont la musique du film Les Chariots de feu (qui a reçu un oscar en 1981), la bande originale du film Antarctica, ainsi que la totalité de la bande originale du film Blade Runner et de 1492 : Christophe Colomb. Il a également composé l'hymne de la Coupe du monde de football 2002.

    Au même titre que le Français Jean Michel Jarre, que les Belges de Telex et que les Allemands Klaus Schulze, Kraftwerk et Tangerine Dream, Vangelis est reconnu pour avoir été l'un des pionniers de la musique électronique au cours des années 1970. En plus du grec, il parle anglais et français."

    Ces informations, tout un chacun peut le savoir à défaut de le connaître.

    Mais Vangelis, c'est d'abord la musique de la série sur la nature et la beauté de la création de Frédéric Rossif, "l'Apocalypse des Animaux".

    C'est aussi "Blade Runner" et "1492".

    Il donne une perspective à la musique, certes, ses harmoniques ne sont pas toujours très détaillées et ses polyphonies manquent de force.

    Mais l'intérêt de la musique de Vangelis réside dans sa création de son. Tels des harmoniques mécaniques "Spiral" ou encore les rythmes océaniques "Oceanic" ou encore "Pulstar".

    Bref, vous l'aurez compris, Vangelis n'est pas seulement un son "New Age" comme on se plait à l'écrire mais un auteur, compositeur qui a compris que le temps est au repos des sens.

    Cette musique est belle car simple, simple et souvent géniale.

    Merci Vangelis.

    http://www.allmusic.com/artist/vangelis-mn0000840000

    Son site :

    http://www.vangelisworld.com/

    Vangelis ou l'électronique musicale

    Vangelis ou l'électronique musicale

    Vangelis ou l'électronique musicale

    Vangelis ou l'électronique musicale

     

    Bonne musique.

    Bien à vous.

    PGR

     

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  • Hello,

     

    This is a famous musician.

     

    Thank to Mr. Forrest.

     

    Short biography

    Music origins and development 1991 Purchased first synthesiser/keyboard. 1992 Composed and recorded first music compositions, released on tape as “Octaves of Infinity” (now unavailable). 1997 Recorded best selling CD “Starseed”, which is used as accompanying soundtrack to film-maker Jean- Luc- Bozzoli’s esoteric animated film entitled “Merkabah, voyage of a Starseed”. Starseed is Andrew’s second volume (Sirius) in his ‘Star System Trilogy’. 1998 Released second CD “Alpha-Omega”, which is the third volume (Andromeda) in the ‘Star System Trilogy’

     

    If you like, go on its website :

    http://andrewforrest.co.nz/

     

     

    See you.

     

    PGR

     

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  • Bonsoir à tous,

     

    Les destins se construisent.

     

    Celui-ci est original et émouvant.

     

    Dans le même temps où l'idée de création du monde et de survivance du langage nous restent étrangères.

     

    Savoir que nous sommes ensemble tout seul n'est pas nouveau en soi.

     

    Savoir que plus de 7000 langues sont usitées sur notre planète et que seuls le chinois et l'anglais ne sont parlés !

     

    Le principe de domination/minorité est parfaitement traité par le linguiste Alexandre François.

     

    Je lui rend témoignage car il est rare de rencontrer un homme et une intelligence au service d'autres hommes et d'autres intelligences.

     

    Les langues sont notre moyen de locomotion verbale interactive et le terreau de nos difféfences.

     

    Merci cher monsieur, scientifique et pédagogue qui nous fait aimer le langage et les peuples.

     

    Allez abondamment sur son site, il est fabuleux !!!

     

    http://alex.francois.free.fr/AF-fr.htm

     

    Il nous propose un petit conte : je me permets de vous le proposer, sinon allez sur son site très bien fait.

     

    "La légende de Kpwet
    le dieu farceur"

     

    Encore bravo et merci.

     

    Bien à vous.

     

    PGR

     

     

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  • Bonsoir à tous,

     

    Un concerto qui m'émeut plus que beaucoup d'autres...

     

    Saint Preux est un musicien à part...

     

    Auteur de plusieurs centaine de partitions et d'une impressionnante série discographiques, il s'est rendu célèbre par ce concerto et un autre dont je vous ferais par une prochaine fois...

     

     

    Bien à vous.

    PGR

     

     

     

     

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  • Hi ladies and gentlemen ,

     

    Another one !

     

    Thanks any more Ms Lindsey Stirling ....

     

     

     

    Bien à vous.

     

    PGR

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  • Hi everybody,

     

    A famous musician and a violonist too much !!!

     

    Quelle classe !

     

    Bravo Ms. Lindsey Stirling !

     

    Follow more and more ...

     

     

    Bien à vous

     

    PGR

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