• Ola,

     

    Les espagnols n'en finissent pas de clore leur passé relatif à la Guerre Civile de 1936-38...

     

    Voilà qu'un tortionnaire finit tranquillement ces jours, il y en a d'autres et en France notamment...

    Mais voilà, celui-là est significatif d'une période sombre de l'Histoire de l'Espagne.

    Ne pas l'extrader revient à cautionner sinon à protéger ces individus d'aspects tranquilles et finalement effrayant.

    Billy the kid est un tortionnaire qui aimait faire souffrir.

    Comment peut-il vivre aujourd'hui alors qu'il n'a plus de victime à faire souffrir ?

    On raconte que lors de l'incarcération de Klaus Barbie dans la prison où jadis, sa victime, Jean Moulin n'était plus qu'une épave sanguinolente, il a eu un mouvement de peur comme si le passé revenait vers lui.

    D'ailleurs, à l'époque, le dessinateur Plantu avait dessiné le gétapiste Barbie accueillant le veillard Klaus Barbie...

    Comme on aurait aimé que ce Juan Antonio Gonzalez Pacheco, alias «Billy the Kid», ex-policier franquiste âgé de 67 ans puisse comprendre que la souffrance puisse être réflexive.

    Sinon, je le plains car il mourra un jour et il verra alors ces victimes mais dans quelles conditions...

    Je vous joins les articles correspondants :

     

    "

    À l'extérieur de la salle d'audience, des manifestants réclament l'extradition de Juan Antonio Gonzalez Pacheco.

    Le parquet espagnol a refusé jeudi l'extradition de Juan Antonio Gonzalez Pacheco, alias «Billy the Kid», l'ex-policier franquiste âgé de 67 ans réclamé par l'Argentine, qui enquête sur les crimes commis sous la dictature du général Franco.

    Juan Antonio Gonzalez Pacheco doit son surnom de «Billy el niño» ou «Billy the Kid» à la violence qu'il aurait mis, selon ses victimes, à torturer les opposants à la dictature franquiste. Il est aujourd'hui poursuivi avec un autre ex-garde civil, Jesus Munecas Aguilar, dans le cadre de l'enquête ouverte en 2010 en Argentine, par la juge Maria Servini de Cubria, pour génocide et crime contre l'humanité pendant la Guerre civile espagnole (1936-1939) et la dictature de Francisco Franco (1939-1975).

    «Nous nions les faits de torture», a déclaré l'avocat de Juan Antonio Gonzalez Pacheco au cours de l'audience de jeudi où la justice espagnole a rejeté la demande d'extradition formulée par l'Argentine. Les témoignages sont pourtant accablants contre l'un des membres les plus craints de la police politique franquiste. Le journal El Pais rapportait en 2013 les souvenirs de plusieurs militants communistes, victimes de «Billy el niño». Tous décrivent des séances de torture particulièrement violentes et certains parlent d'un tortionnaire sadique qui effrayait ses propres collègues. Pour Luis Perez, ancien cadre du parti communiste et victime de Gonzalez Pacheco, interrogée par le journal Publico, l'homme est «un animal, un sauvage qui prenait du plaisir à torturer».

    La loi d'amnistie de 1977

    En 1977, deux ans après la mort du général Franco, le tortionnaire présumé a été décoré de la médaille du mérite policier avant de continuer sa carrière au sein de la brigade antiterroriste.

    Si les associations de victimes espagnoles se sont tournées vers la justice argentine, c'est dans le but de contourner celle de leur pays qui refuse d'enquêter sur le sort des milliers de disparus et sur les accusations de torture portées contre la Garde Civile sous la dictature du général Franco. Invoquant une loi d'amnistie, votée en 1977 par les principaux partis qui ont fondé la démocratie, la justice espagnole a toujours rejeté les plaintes des victimes du franquisme. Malgré également les demandes répétées des Nations unies.

    Un espoir pour les victimes du franquisme

    Cette plainte déposée en Argentine pourrait cependant déboucher sur les premières auditions de victimes en Espagne. «Il est possible de rejeter l'extradition», a expliqué le procureur espagnol, mais, «pour répondre aux engagements diplomatiques, de permettre aux autorités argentines, si elles le désirent, de déposer plainte. Cela permettrait alors, a ajouté le procureur, d'entendre les victimes devant les tribunaux espagnols, ce qui n'est jamais arrivé jusqu'à présent».

    L'instruction ouverte en 2008 par l'ex-magistrat espagnol Baltasar Garzon avait estimé à 114.000 le nombre de victimes de la Guerre civile et du franquisme toujours portées disparues en Espagne."

    http://www.lefigaro.fr/international/2014/04/11/01003-20140411ARTFIG00190-l-espagne-refuse-d-extrader-le-franquiste-billy-the-kid.php

     

    “Billy the Kid” to face High Court extradition hearing in April

    Judges will determine next steps for former police inspector, who is wanted in Argentina

     

    Former police inspector Juan Antonio González Pacheco, alias “Billy the Kid,” leaves the High Court in December 2013. / Claudio Álvarez

    The High Court has scheduled a public hearing for April 10 to determine whether Spain should extradite former police inspector Juan Antonio González Pacheco, alias “Billy the Kid,” who is wanted in Argentina for torture-related crimes he allegedly committed during the later years of the Francisco Franco regime.

    The hearing will be held before a three-judge panel at the High Court’s criminal section chamber in San Fernando de Henares. The presiding judge will be Concepción Espejel, while magistrates Clara Bayarri and Julio de Diego will also participate in the session, which has been scheduled for 10am that day.

    Last year, Buenos Aires Judge María Servini de Cubría issued an international arrest warrant for González Pacheco and former Civil Guard Jesús Muñecas Aguilar, who is also wanted for homicide, torture and illegal detention, in her ongoing investigation into crimes committed by former officials in the Franco dictatorship.

    Servini opened the investigation based on the principle of universal justice after a group of individuals claimed they were victims of the two former law enforcement officials. The plaintiffs went to Argentina to seek justice after they met with resistance by Spanish courts to hear their complaints.

    On January 31, prosecutors filed their opposition to González Pacheco’s extradition, saying that the statute of limitations has run out on the charges filed against him for actions that allegedly took place between 1968 and 1975. In any case, prosecutors stated, it was up to the Spanish justice system – not Argentina – to deal with the complaints filed against the two Spaniards.

    “The Spanish courts have jurisdiction to investigate the incidents, which took place in Spanish territory, by Spanish citizens against Spaniards, who were victims,” wrote prosecutor Pedro Martínez Torrijos.

    González Pacheco is wanted for allegedly torturing 13 people in Madrid jails

    The High Court prosecutor has not taken a position in the Muñecas Aguilar case.

    Last December, González Pacheco, 67, and Muñecas, 74, appeared before High Court Judge Pablo Ruz, who confiscated their passports and ordered them to remain in Spain after the two officially declined to voluntarily travel to Argentina to answer to the charges. Their lawyers argued that their clients were protected by the 1977 amnesty law.

    González Pacheco is wanted for allegedly torturing 13 people in Madrid jails Yesería and Carabanchel. He picked up the nickname of Billy the Kid because he is reported to have had a habit of spinning his firearm on his finger in an intimidating manner, the victims claimed.

    At least 17 complaints had been filed in Spanish courts against the former police inspector.

    González Pacheco had once faced charges in Spain in connection with the 1977 massacre of five left-wing lawyers during a notorious attack at a law firm near Atocha railway station. Four others were injured in the incident. But Billy the Kid was never convicted because his defense team had successfully argued that he was protected by the terms of the Amnesty Law that was passed that same year."

    http://elpais.com/elpais/2014/02/27/inenglish/1393513763_959571.html

     

    "Billy el Niño era un sádico. Era evidente que disfrutaba con lo que hacía"

    Jesús Rodríguez Barrios fue interrogado y golpeado en la Dirección General de Policía de Madrid por Antonio González Pacheco, alias Billy el Niño, uno de los cuatro ex policías para los que la juez argentina ha pedido captura internacional, acusados de torturas durante el franquismo. 

    Entrevista franquismo

    El testimonio de Jesús Rodríguez Barrios ha permitido la imputación de cuatro exagentes de la seguridad del Estado

    Se le ve contento, satisfecho, pero baja la mirada. Quizá porque, cauteloso, no quiere que se le note la euforia que le provoca la decisión de una juez argentina de pedir la captura internacional de quien fue su torturador, Antonio González Pacheco, alias Billy el Niño. O quizá la mirada baja se deba a que, por muy cicatrizada que Jesús Rodríguez Barrios tenga aquella herida, siempre cuesta hablar de dolores y miedos pasados.

    Este profesor de Economía de la UNED de 59 años es miembro de La Comuna, la asociación de expresos franquistas que es una de las principales impulsoras de la querella que por primera vez imputa a tres miembros de la Policía franquista (el cuarto es un escolta de Franco) por delitos de lesa humanidad.

    ¿Cuándo fue detenido en la Dirección General de Seguridad?

    Me detuvieron tres veces. La primera, con 18 años, por manifestarme contra el asesinato de dos obreros en Ferrol. La segunda, dos años después, por reunión ilegal. Y la tercera, en 1975, acusado de asociación ilegal, por pertenecer a un pequeño partido, la Liga Comunista Revolucionaria. En las dos últimas detenciones permanecí tres días en los calabozos de la DGS. Yo era un estudiante de la Complutense, era muy joven.

    ¿Cómo era la España de aquellos años?

    España era en blanco y negro. No se parecía nada a la caricatura que han hecho en series como Cuéntame, en las que parece que la gente se lo pasaba bien. Los que luchábamos contra el franquismo vivíamos en un permanente estado de terror. La inmensa mayoría de las personas detenidas en aquella época era por el ejercicio de derechos fundamentales, con lo que la vida que hacíamos no era normal ni mucho menos. Yo pude acabar mi carrera, incluso estudiando en la cárcel, pero muchísimos no. Y otros incluso perdieron años de libertad o la vida.

    ¿Cómo lo vivió su familia?

    Mi madre murió cuando era pequeño. Mi padre, que era un  hombre conservador por edad y por educación, se convirtió en antifranquista a golpe de ver a sus hijos (mi hermano menor también estuvo preso y fue represaliado) perseguidos y reprimidos. Y no por criminales y terroristas, sino simplemente por defender derechos básicos.

    ¿Cómo era la DGS?

    La primera vez que entré a la DGS me impresionó: era un sitio lúgubre, horrible. Estuve allí un día y medio. Descubrí que lo habitual era que te recibieran con golpes los policías que te cruzabas por los pasillos. Pero eso no fue nada. Cuando de verdad se sentía aquello era cuando entrabas por un delito que consideraban grave, como pertenecer a un partido político. Los golpes y la tortura se practicaba en los interrogatorios de oficio. En los calabozos no había ni un resquicio de luz. Sólo una bombilla con una luz mortecina y la sensación de que las horas no pasaban. A veces podías adivinar el momento del día por la comida que te traían. A ves ni eso. La primera vez que salí de la DGS a la Puerta del Sol, mi cuerpo me decía que era de día, pero cuando salí estaba completamente oscuro. Había perdido la noción del tiempo.

    ¿Qué tipo de torturas le practicaron? 

    En mi caso se trató de golpes en todo el cuerpo, con los puños, con porras, pero en la querella se describen extensamente las modalidades que usaban: el submarino (meter la cabeza del detenido en agua hasta que estuviera a punto de ahogarse), la picana, los electrodos, colgar a los presos y golpearles en la planta de los pies... todo el repertorio imaginable desde la Gestapo hasta las dictaduras latinoamericanas. Pero la tortura mayor era no saber cuánto iba a durar la pesadilla. La sensación de indefensión que generaba la impunidad con la que se manejaban los policías. La cárcel era para nosotros una liberación, porque al menos allí veíamos a un abogado, había una ficción de legalidad...

    ¿Qué secuelas le han dejado aquellas 'sesiones interrogatorias'?

    Sobre todo psíquicas. Durante años he vivido con la sensación de estar constantemente vigilado, incluso hasta bien entrada la democracia. Y hay imágenes que no se olvidan. No podré borrar nunca esa sensación de terror cuando me llevaban a la sala de interrogatorios y me cruzaba en el pasillo con el que sacaban de allí, con la cara desencajada y golpeada. Y  aunque fuera un íntimo amigo, mirar para otro lado como si no le conociera. Porque lo importante era que no nos relacionaran. Podías condenar a alguien con sólo mirarlo.

    Uno de esos interrogadores a los que se refiere era Billy el Niño. ¿Qué lo hacía tan famoso entre los suyos?

    Era un sádico. Yo recuerdo especialmente a dos de los que me interrogaron y golpearon. Uno era Conrado Delso, alias El gitano, que era muy corpulento, el más temido por todos. Y el otro era Antonio González Pacheco, Billy el Niño. No era muy alto. Más bien pequeño. Y tenía una cara muy desagradable, con un rictus raro. Era evidente que disfrutaba con lo que hacía, como muchos otros en la DGS. Era joven. Tenía apenas ocho años más que yo cuando me interrogó, con 21, y hasta llegó a amenazarme con un arma. Me dijo: "Te pego un tiro ya y no se entera nadie".

    Los dos viven en Madrid. ¿Has pensado en todos estos años en la posibilidad de cruzártelo en la calle?

    Sí, aunque Madrid es grande y ciertamente no frecuentamos los mismos círculos (sonríe). Pero han pasado muchos años. Creo que si me lo encontrara hoy no haría nada. Salvo mirarlo con desprecio.

    ¿Qué es lo que espera de esta causa judicial en Argentina?

    No nos mueve el odio ni el deseo de venganza. Lo hemos superado. Es una cuestión de dignidad moral. De que quede claro que los delincuentes no éramos nosotros, los perseguidos. Los delincuentes eran ellos y nosotros las víctimas. Pero no me gusta la palabra víctima. Prefiero hablar de resistentes."

    http://www.eldiario.es/sociedad/palabra-victimas-Prefiero-hablar-resistentes_0_177083084.html

     

    L'Espagne refuse d'extrader le franquiste «Billy the Kid»

    Comme tout le monde...à distribuer la mort...

     

    L'Espagne refuse d'extrader le franquiste «Billy the Kid»

    L'assurance et l'impunité...

     

    L'Espagne refuse d'extrader le franquiste «Billy the Kid»

    Un homme protégé...

     

    Finalement, depuis l'échec de l'extradition de feu "Pinochet", le tragi-comédie des tortionnaires continue...

    Au moins, les sieurs Papon et Barbie ont fini dégradé et en prison.

    Bien à vous.

    Adios.

    PGR

     

     

     

     

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    2 commentaires
  • Bonsoir à tous,

     

    Voici une information (une de plus dans le foisonnement de celles que nous recevons tous les jours) et qui pourraient remettre en cause les belles perspectives de reprise que nous souhaitons tous.

    Enfin tous ! Je précise.

    Les investisseurs le souhaitent.

    Les entreprises le souhaitent.

    Les cadres le souhaitent.

    Les jeunes en recherche d'emplois le souhaitent.

    Les "betweens to job" le cherchent.

    Probablement que tous le monde le souhaitent finalement.

    Mais voilà, l'économie de marché est justement dirigé par les marchés et non par des décisions législatives comme certains pays de l'Europe le croient encore.

    La Chine rencontre un ralentissement de son activité dans ses exportations mais finalement, le taux de croissance et le volume de sa créance donnent encore le vertige.

    Alors, que se passe-t-il donc ?

    "Le ralentissement d'activité de la deuxième économie mondiale se confirme. La production manufacturière de la République populaire a chuté en janvier, à son plus bas niveau en six mois, a annoncé samedi le gouvernement chinois.

    L'indice PMI des directeurs d'achat calculé par la Fédération chinoise de la logistique et des achats (CFLP), une organisation gouvernementale, se monte à 50,5 en janvier, après 51,0 en décembre se plaçant juste au dessus de la barre mesurant une progression de l'activité. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l'activité manufacturière, tandis qu'un indice inférieur à ce seuil signale une contraction.

    Ce résultat «illustre le ralentissement du rythme de l'économie» chinoise, a commenté la banque ANZ. Cependant, ce déclin s'explique en partie par l'effet de la Fête du printemps, période pendant laquelle de nombreux travailleurs migrants rentrent chez eux pour les vacances. Les Chinois sont entrés, vendredi, dans l'année lunaire du Cheval, mais les grands déplacements et les arrêts d'usines et de commerces ont commencé après la première quinzaine de janvier.

    Affaiblissement des commandes à l'exportation

    La banque HSBC avait de son côté estimé, la semaine passée, que le secteur manufacturier chinois s'était contracté en janvier, pour la première fois depuis six mois, l'indice PMI atteignant 49,5. «Ce démarrage timide du secteur manufacturier chinois en 2014 s'explique partiellement par un affaiblissement des commandes à l'exportation et un ralentissement de l'activité commerciale sur le plan intérieur en janvier», avait souligné Qu Hongbin, économiste de HSBC.

    La Chine a enregistré 7,7% de croissance économique en 2013, un chiffre stable par rapport à 2012, année où elle avait enregistré sa plus faible performance en 13 ans. Le gouvernement a annoncé, mi novembre, une série de mesures visant à réorienter l'activité davantage sur les services et la consommation intérieure alors que le modèle économique de la Chine s'essouffle. Cette phase d'adaptation devrait se traduire par un tassement de la croissance, selon les analystes."

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/02/02/20002-20140202ARTFIG00161-chine-le-ralentissement-de-l-activite-se-confirme.php

     

    Donc, pas de panique.

    Mais il faut rester vigilant.

    Nous verrons bien au printemps si la baisse de la croissance se poursuit sinon, tout cela ne sera (encore) qu'une énième inquiétude pour pas grand-chose.

    Bien à vous.

    PGR

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  • Bonjour à tous,

     

    Voici une information intéressante.

    La France est une destination préférée des touristes étrangers et la ville de Paris supplante toujours Londres.

    Pourtant !

    "À peine 41% des Français ont passé au moins une nuit payante hors de chez eux l'an dernier, contre 45% en 2012, selon une étude publiée ce mardi. Le camping affiche un recul de 3 millions de nuitées, tout comme les locations meublées tandis que l'hôtellerie perd 2 millions de nuitées.

    Les vacances en hébergement payant deviendraient-elles un luxe de plus en plus inaccessible pour une majorité de Français? C'est en tout cas ce qui ressort d'une étude menée par le cabinet Protourisme. L'an dernier, seuls 29,5 millions de Français (adultes et enfants) ont passé au moins une nuit en hébergement marchand soit 41% de la population contre 45% en 2012. Selon les calculs du cabinet spécialisé, ce seraient 3,5 millions d'habitants de l'Hexagone qui auraient renoncé à ce genre de sortie depuis 2010.

    Le camping affiche un recul de 3 millions de nuitées, tout comme les locations meublées tandis que l'hôtellerie perd 2 millions de nuitées. Seuls les villages de vacances et les résidences de tourisme tirent à peu près leur épingle du jeu dans une quasi stabilité. «C'est un niveau de départ extrêmement faible et le recul affecte toutes les catégories de clientèle», souligne Didier Arino, directeur de Protourisme. Même les vacances subventionnées dans les villages de vacances associatifs sont en recul.

    Néanmoins, le niveau de vie reste déterminant pour continuer à s'offrir des vacances. Si les trois quarts des foyers disposant de revenus mensuels nets supérieurs à 3500 euros partent toujours, ils ne sont plus que 56% chez ceux gagnant entre 2500 et 3499 euros et 38% dans les classes moyennes pouvant compter sur 1500 à 2499 euros mensuels. Quant aux foyers avec un revenu inférieur à 1500 euros, la proportion de ceux qui se permettent de s'offrir ce genre de séjour ne dépasse pas 23%.

    De mauvais chiffres qui rendent Didier Arino pessimiste pour l'avenir. «Si les clientèles étrangères progressent un peu et les catégories socioprofessionnelles supérieures se maintiennent, le cœur du marché se réduit, explique-t-il. Il sera de plus en plus compliqué et coûteux de toucher une nouvelle clientèle. Avec la hausse de la TVA et des charges, la seule manière de s'en sortir pour les plus fragiles sera de se regrouper vers les marques les plus fortes du secteur.»

    Un mouvement qui ne se fera pas sans quelques victimes, selon lui, du côté des clubs de vacances ou de l'hôtellerie. Ces professionnels ont d'ailleurs d'autant plus de mal à maintenir leurs marges que le poids des intermédiaires en ligne ne cesse de progresser. L'an dernier 84% des acheteurs d'hébergements marchands se sont renseignés sur le Web, et 72% de ces internautes ont au moins acheté une prestation touristique payante au cours de l'année 2013."

    http://www.lefigaro.fr/conso/2014/03/11/05007-20140311ARTFIG00018-les-vacances-un-luxe-pour-de-plus-en-plus-de-francais.php

     

    Nous sommes encore un plein paradoxe.

    A vos réflexions.

    Bien à vous.

    PGR

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  • ¡Olá compañero!

    40 años bajo secreto

     

    "El 2 de marzo de 1974, hace ahora 40 años, un médico militar certificaba la muerte en la cárcel Modelo de Barcelona de Salvador Puig Antich “por parada cardiorespiratoria por garrote”. Tenía 25 años. Su figura ha sido popularizada por el cine, pero las circunstancias de su caso siguen envueltas en una espesa niebla. El caso fue decretado “materia informativa reservada” y así sigue.La solicitud de revisión del proceso contra Puig Antich ha sido denegada dos veces, pero el caso sigue abierto en Argentina — en manos de la juez María Servini de Cubría, que recibió la querella por genocidio de las víctimas del franquismo iniciada por Baltasar Garzón— La prohibición de acceder a la documentación policial custodiada por el Ministerio del Interior continúa vigente. Esta imposibilidad de acceder a los documentos oficiales, ha mantenido vivos una serie de tópicos que ocultan la dimensión de una ejecución que marcó la hoja de ruta del final de la dictadura, incapaz ya de mantenerse sin el uso de la fuerza.

     El proceso, desarrollado entre septiembre de 1973 y marzo de 1974, fue mucho más que una simple venganza por la muerte del presidente del Gobierno Carrero Blanco. Se cruzó con la primera crisis del Gobierno de su sucesor, Arias Navarro, abierta por la decisión de endurecer a toda costa la política represiva y terminar con cualquier experimento reformista.

    Arias, que había sido director general de Seguridad y ministro de Interior, fue el elegido por Franco para ello. Al contrario de lo que se suele asegurar, Arias no se planteó ni siquiera la posibilidad del indulto a Puig Antich, asunto al que apenas dedicó tiempo. Sus planes no pasaban por contrariar la sentencia de un tribunal militar, y mucho menos la de un asesino de un policía de la Brigada Político Social. La correspondencia del Gobierno Civil de Barcelona, y, sobre todo, dos documentos inéditos, los informes de 28 de febrero y de 29 de marzo de 1974 de la Embajada de Estados Unidos en Madrid, así lo demuestran.

    La causa judicial estaba prácticamente terminada antes de la muerte de Carrero. A finales de noviembre de 1973, el fiscal militar emitió sus conclusiones provisionales en las que pedía ya la pena capital. El atentado del 20 de diciembre aceleró su tramitación, pero no alteró el rumbo. Fueron declarados hábiles los días de Navidad y, el 31 de diciembre, mientras Arias Navarro era recibido en El Pardo con honores, el fiscal reiteraba su petición de pena de muerte para Puig Antich.

    El Gobernador Civil de Barcelona, Tomás Pelayo Ros, intentó mediar antes de que la sentencia se hiciera definitiva en el consejo de guerra fijado para el 8 de enero. Escribió una carta el 1 de enero al nuevo ministro de Interior haciendo dos observaciones sobre el proceso. “La primera es la duda existente sobre si Puig Antich tiene un perfecto conocimiento de los hechos realizados o se encuentra afectado por algún trastorno mental. La segunda, si los disparos que recibió el cuerpo del policía señor Anguas procedían todos ellos del arma empuñada por Puig Antich, puesto que no está suficientemente demostrado cuántas veces disparó”. La respuesta fue esta breve nota manuscrita: “Al subsecretario de despacho para que me hable y prepare contestación evasiva”. El Ejército tenía luz verde.

    El 8 de enero, Puig Antich era condenado a muerte por un tribunal en el que el mismo capitán general de Cataluña había pedido la presencia de “capitanes jóvenes resolutivos”. La sentencia fue ratificada por el Consejo Supremo de Justicia Militar, un día antes del discurso de toma de posesión de Arias Navarro ante las Cortes, el conocido como Espíritu del 12 de febrero.

    El Gobierno no tenía dudas, solo calculó el momento para solapar la presión interior y exterior con una clara intencionalidad política: desacreditar a los reformistas, aplacar a la extrema derecha y congraciarse con el Ejército y la Policía. Así lo explicaba el embajador norteamericano, Horacio Rivero, al secretario de Estado Henry Kissinger: “El interés del Gobierno en el orden público y su sensibilidad a las presiones de la extrema derecha, explica la decisión de ejecutar al anarquista catalán Puig Antich. Para tomar esta decisión, el Gobierno se ha mostrado públicamente del lado de la ley y el orden antes que de la moderación de los países extranjeros y los grupos liberales españoles”.

    “En la clase política española”, según Rivero, “prevalecía el sentimiento favorable a la ejecución, pero era un asunto delicado que podía írsele de las manos al Gobierno. Además de empeorar la mala imagen ante Europa y bloquear el ingreso en el Mercado Común, una política favorable a la pena de muerte produciría una división con los aperturistas, incluida parte de la Iglesia”. No se equivocó. El 24 de febrero estallaba la crisis: el obispo de Bilbao, Antonio Añoveros, era acusado de alentar el separatismo en sus homilías. Arias pidió al secretario de Exteriores que convocara al nuncio apostólico el 1 de marzo.

    Esa misma tarde estaba convocado un consejo de ministros para aprobar la ejecución. A Puig Antich le quedaban exactamente 12 horas de vida. El jefe de Policía de Bilbao comunicó al obispo que debía abandonar el país. El cardenal Tarancón informó al Gobierno de que esas amenazas podían ser sancionadas con la excomunión, forzando la implicación del propio Franco en el asunto Añoveros, pero no intervino en el de Puig Antich, como a veces se ha dicho.

    La decisión de no conmutar la pena de muerte estaba tomada bastante tiempo atrás. El 28 de febrero, Rivero informó sobre su encuentro del día anterior con el secretario general de Iberia, Carlos Viniegra, quien le habría asegurado que la decisión del Gobierno de ejecutar a Puig Antich se habría tomado “hace semanas, pero no se haría pública hasta el regreso del viaje de los Príncipes”, que se encontraban de gira oficial por Filipinas, India y Arabia Saudí. Los príncipes habían regresado a Madrid el 27 de febrero y la crisis debía resolverse de manera inmediata de orden del propio Arias, que quería evitar a toda costa los problemas provocados tras los indultos del proceso de Burgos a varios miembros de ETA.

    Las verdaderas razones de la ejecución de Puig Antich, por tanto, estaban radicadas en el malestar anterior a la muerte de Carrero. Así lo señaló el embajador Rivero en un documento crucial fechado el 29 de marzo: “Todo indica que al optar por una ejecución rápida, el Gobierno quería evitar a toda costa la lección del proceso de Burgos de 1970, donde las dudas y las vacilaciones finales que llevaron al indulto preocuparon muy seriamente a los militares, la policía y a sus aliados más conservadores, que lo vieron como una prueba de debilidad convertida en una victoria por los agitadores de dentro y fuera de España”. El tiempo de las conmutaciones y los indultos había pasado, como quedó demostrado poco después.

    Fragmento del libro 'Puig Antich: la transición inacabada (1973-2013)', de próxima aparición, de Gutmaro Gómez Bravo, profesor de Historia Contemporánea de la Universidad Complutense."

    http://politica.elpais.com/politica/2014/02/28/actualidad/1393610733_039287.html

     

     

    Adios y hasta luego.

    Bien à vous.

    PGR

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    6 commentaires
  • ¡ Olá !

     


    Un acontecimiento tiene lugar actualmente en Argentina y debe hacernos reflexionar.
     

     

    ¡La Historia se repite a veces!

    A pronto

    PGR

    El juicio en Argentina sobre los crímenes de lesa humanidad cometidos durante la dictadura podría tomar un nuevo rumbo después de que un testigo contara nuevos detalles sobre cómo se realizaban los denominados 'vuelos de la muerte'.

    “Las personas iban vivas, drogadas, sedadas, iban libres, deliraban, no estaban esposadas, iban vestidos. Se les decía que iban a un campo. Ninguno tenía ya capuchas ni vendas. No les importaba mucho que vieran a las personas que los llevaban”, declaró el ex gendarme Federico Talavera. 

    El testigo, que trabajó como chófer para el centro clandestino de detención El Olimpo durante la última dictadura militar, fue testigo en uno de los juicios por los denominados 'vuelos de la muerte' en los que miembros de las fuerzas represoras de la última dictadura militar argentina arrojaban al mar o al Río de la Plata a personas secuestradas.

    “Los vuelos de la muerte fueron varios, muchos. Los traslados se hacían de noche, desde Aeroparque, y los que hacían los vuelos eran el segundo comandante Guillermo Cardozo, de Gendarmería; Eugenio Pereira Apestegui, de Inteligencia de Gendarmería; el Turco Julián, y el principal Rosas, de apodo Clavel, que era de la Policía Federal”, declaró Talavera. 

    Esta declaración se produce en la etapa de instrucción, una fase previa al desarrollo del juicio, y por lo tanto tendrá que ser ratificada por el tribun


    Texto completo en: http://actualidad.rt.com/actualidad/view/89585-testigo-datos-vuelos-muerte-argentina

    El juicio en Argentina sobre los crímenes de lesa humanidad cometidos durante la dictadura podría tomar un nuevo rumbo después de que un testigo contara nuevos detalles sobre cómo se realizaban los denominados 'vuelos de la muerte'.

    “Las personas iban vivas, drogadas, sedadas, iban libres, deliraban, no estaban esposadas, iban vestidos. Se les decía que iban a un campo. Ninguno tenía ya capuchas ni vendas. No les importaba mucho que vieran a las personas que los llevaban”, declaró el ex gendarme Federico Talavera. 

    El testigo, que trabajó como chófer para el centro clandestino de detención El Olimpo durante la última dictadura militar, fue testigo en uno de los juicios por los denominados 'vuelos de la muerte' en los que miembros de las fuerzas represoras de la última dictadura militar argentina arrojaban al mar o al Río de la Plata a personas secuestradas.

    “Los vuelos de la muerte fueron varios, muchos. Los traslados se hacían de noche, desde Aeroparque, y los que hacían los vuelos eran el segundo comandante Guillermo Cardozo, de Gendarmería; Eugenio Pereira Apestegui, de Inteligencia de Gendarmería; el Turco Julián, y el principal Rosas, de apodo Clavel, que era de la Policía Federal”, declaró Talavera. 

    Esta declaración se produce en la etapa de instrucción, una fase previa al desarrollo del juicio, y por lo tanto tendrá que ser ratificada por el tribunal.


    Texto completo en: http://actualidad.rt.com/actualidad/view/89585-testigo-datos-vuelos-muerte-argentina

    El juicio en Argentina sobre los crímenes de lesa humanidad cometidos durante la dictadura podría tomar un nuevo rumbo después de que un testigo contara nuevos detalles sobre cómo se realizaban los denominados 'vuelos de la muerte'.

    “Las personas iban vivas, drogadas, sedadas, iban libres, deliraban, no estaban esposadas, iban vestidos. Se les decía que iban a un campo. Ninguno tenía ya capuchas ni vendas. No les importaba mucho que vieran a las personas que los llevaban”, declaró el ex gendarme Federico Talavera. 

    El testigo, que trabajó como chófer para el centro clandestino de detención El Olimpo durante la última dictadura militar, fue testigo en uno de los juicios por los denominados 'vuelos de la muerte' en los que miembros de las fuerzas represoras de la última dictadura militar argentina arrojaban al mar o al Río de la Plata a personas secuestradas.

    “Los vuelos de la muerte fueron varios, muchos. Los traslados se hacían de noche, desde Aeroparque, y los que hacían los vuelos eran el segundo comandante Guillermo Cardozo, de Gendarmería; Eugenio Pereira Apestegui, de Inteligencia de Gendarmería; el Turco Julián, y el principal Rosas, de apodo Clavel, que era de la Policía Federal”, declaró Talavera. 

    Esta declaración se produce en la etapa de instrucción, una fase previa al desarrollo del juicio, y por lo tanto tendrá que ser ratificada por el tribunal.


    Texto completo en: http://actualidad.rt.com/actualidad/view/89585-testigo-datos-vuelos-muerte-argentina
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  • Bonjour à tous,

     

    Un peu de calcul mental :

     

    50 kg de nourritures est  = 400 repas par jour.

    On détruit chaque 1600 tonnes de nourritures par jour.

    Donc on détruit :

    (1 600 000 kg x 400 repas) / 50 kg = 12 800 000 repas !!! par jour...

    Bon le calcul est simpliste mais il signifie que notre gaspillage est symptomatique de notre société libre échangiste.

    Il faut produire et vendre certes, mais le gaspillage représente du stock non vendu voire interdit à la vente. Donc, si on récupérait ces stocks impropre à la vente mais encore consommable, on pourrait demander aux services phyto-sanitaire de se préoccuper de ce genre de nouveau marché.

    J'avais dans un autre article "Gaspillage de nourriture ou nourriture gaspillé ?" (dans la rubrique "Revue de Presse") abordé ce sujet malheureusement inépuisable.

    Mais dans ce point ci, nous voyons que le problème s'aggrave car il s'intègre dans l'économie réelle.

    En d'autres termes, nous sommes rentrés dans une économie utilitariste où les intérêts de quelques uns ne correspondent plus aux intérêts de chacun.

    Si les réseaux de distribution sont si puissant c'est qu'ils répondent à une volonté de satisfaire le client, mais dans le même temps ce client a des besoins volatiles et donc par conséquent il faut varier les produits à produire et à vendre.

    Les stocks sont de plus en plus difficiles à maintenir et donc nous jetons les produits non vendus ou ne correspondant plus aux besoins des clients.

    C'est la quadrature du cercle.

    Savoir que l'on pourrait nourrir ou assurer des millions de repas par jour, peut rendre nerveux pour certains et a déjà fait l'objet de campagne par les services d'aides comme le "Secours Catholique" ou le "Secours Populaire", les "Compagnons d'Emmaüs" ou encore les "Restau du Coeur" et j'en oublie bien entendu.

    Mais le problème est ailleurs.

    Le consommateur doit comprendre que tout n'est pas achetable et finalement appréciable.

    Les enjeux de quelques uns doivent s'accorder avec les intérêts de tous et non pas l'inverse.

     

    A votre réflexion.

    Bien à vous.

    PGR

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  • Bonsoir à tous,

     

    Une petite histoire délicieuse.

    Vous exercez des responsabilités dans la Supply Chain et vous n'avez jamais réussi à expliquer avec des mots simples, votre métier à vos enfants. Noël peut être l'occasion d'y remédier. Rassemblez le 24 décembre peu avant minuit votre petite famille autour de l'âtre, puis d'une voix douce et rassurante commencez à raconter :

     

    "Voilà. Le Père Noël est un homme confronté à une importante problématique : il doit livrer des millions de cadeaux à des millions d'enfants, le même jour, à la même heure et sans se tromper d'endroit. Autre casse-tête : comme la plupart des cadeaux sont fabriqués par des petits lutins chinois, il doit les commander longtemps à l'avance. Une fois les objets fabriqués, il doit les faire transporter par de gros bateaux, puis par de gros camions qui les déposent dans de gros hangars (qu'on appelle aussi entrepôts). A partir de là, des milliers de lutins intérimaires vont trier, stocker, puis préparer les cadeaux. C'est en général à ce moment précis que le Père Noël, perplexe, se gratte la tête. En effet, si les cadeaux ne sont pas assez nombreux, c'est la rupture, et ce n'est pas bon pour son chiffre d'affaires. S'il y en a trop, tous les cadeaux vont lui rester sur les bras, ce qui est catastrophique pour son compte de résultat. Bref, même s'il fait correctement son boulot, le Père Noël est non seulement soumis aux aléas du marché, à l'imprévisibilité de la demande, au contexte conjoncturel, mais il peut également être planté par son informatique, sa mécanisation, ses transporteurs ou tout simplement par la météo. Tout cela pour vous dire mes chers enfants, que si ce soir vous avez la chance d'avoir des cadeaux, c'est parce que quelque part un Père Noël a bossé comme un malade pour vous permettre de les avoir en temps et en heure. Alors... qu'est-ce qu'on dit au Père Noël ?"

    http://www.supplychainmagazine.fr/2013-12-9_8-48/newsletter.php?n=45&md5=cDieEerFd%2F%2BZkSn96SFnMA

     

    Bonne soirée.

    Bien à vous.

    PGR

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  • Bonsoir à tous,

     

    Tandis que la Comète ISON respire d'avoir échappé à l'étreinte solaire, les Ukrainiens viennent de montrer à l'UE qu'elle n'est pas encore démise de celle de son puissant voisin, l'URSS.

    On peut disserter sur les raisons de cet échec relatif car il remet à 2015 les velléités d'entrer dans l'UE.

    Il faudra attendre le départ de l'actuel président rétif à tout changement vers l'Ouest.

    Finalement, je me surprend à m'irriter de cette décision.

    Après tout, la liberté c'est de choisir son destin.

    Si les Ukrainiens décident de rester dans le girons des russes, qu'ils demandent les chars soviétiques et un départ en vacance dans les goulags sibériens.

    Je sais, je suis méchant.

    Je regrette cet élargissement avorté.

    Il pourrait servir à desserrer l'étau du soviétisme rampant.

    Que l'on prête au Président Poutine des vertus de stabilité géopolitique avec le dossier Syrien, pourquoi pas, mais voir ces anciennes colonies du Pacte de Varsovie, je veux dire du Komintern, ou encore du Gosplan, oh, je ne sais plus...

    L'élargissement de l'Union Européenne remis à plus tard

    Ambiance glaciale ...

    Finalement, vivement 2015.

    Bien à vous.

    PGR

     

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  • Good morning ladies and gentlemen,

     

    Please, read this news.

     

    "HERE is a symbol of China’s assault on the American economy: the Verrazano-Narrows Bridge, which connects Brooklyn and Staten Island. This landmark, which opened in 1964, is North America’s longest suspension bridge. It’s also in urgent need of renovation. Unfortunately, $34 million in steel production and fabrication work has been outsourced to China.

    How did this happen? The Metropolitan Transportation Authority says a Chinese fabricator was picked because the two American companies approached for the project lacked the manufacturing space, special equipment and financial capacity to do the job. But the United Steelworkers claims it quickly found two other American bridge fabricators, within 100 miles of New York City, that could do the job.

    The real problem with this deal is that it doesn’t take into account all of the additional costs that buying “Made in China” brings to the American table. In fact, this failure to consider all costs is the same problem we as consumers face every time we choose a Chinese-made product on price alone — a price that is invariably cheaper.

    Consider the safety issue: a scary one, indeed, because China has a very well-deserved reputation for producing inferior and often dangerous products. Such products are as diverse as lead-filled toys, sulfurous drywall, pet food spiked with melamine and heparin tainted with oversulfated chondroitin sulfate.

    In the specific case of bridges, six have collapsed across China since July 2011. The official Xinhua news agency has acknowledged that shoddy construction and inferior building materials were contributing factors. There is also a cautionary tale much closer to home.

    When California bought Chinese steel to renovate and expand the San Francisco-Oakland Bay Bridge, for a project that began in 2002, problems like faulty welds by a Chinese steel fabricator delayed the project for months and led to huge cost overruns. Those delays eroded much of the savings California was banking on when it opted for the “cheap” Chinese steel.

    There is a second reason not to buy “Made in China” products: jobs. The abiding fact is that steel production is heavily subsidized by the Chinese government. These subsidies range from the massive benefits of a manipulated and undervalued currency to the underwriting of the costs of energy, land, loans and water.

    Because of China’s subsidies — most of which are arguably illegal under international trade agreements — its producers are able to dump steel products into America at or below the actual cost of production. This problem is particularly acute now as China is saddled with massive overcapacity in its steel industry.

    Of course, every job China gains by dumping steel into American markets is an American job lost. Each steelworker’s job in America generates additional jobs in the economy, along with increased tax revenues. With over 20 million Americans now unable to find decent work, we could certainly use those jobs as we repair the Verrazano Bridge.

    The M.T.A. has ignored not only the social costs but also the broader impact on the environment and human rights. Chinese steel plants emit significantly more pollution and greenhouse gases per ton of steel produced than plants in the United States. This not only contributes to global warming but also has a direct negative impact on American soil, since an increasing amount of China’s pollution is crossing the Pacific Ocean on the jet stream.

    Finally, when American companies and government agencies opt for Chinese over American steel, they are tacitly supporting an authoritarian regime that prohibits independent labor unions from organizing — one of many grim ironies in today’s People’s Republic. As a result, American workers are forced to compete against Chinese workers who regularly work 12-hour days, six or seven days a week, without adequate safety gear. Both Chinese and American steelworkers wind up as victims.

    The bottom line here is this: Buying “Made in China” — whether steel for our bridges or dolls for our children — entails large costs that most consumers and, sadly, even our leaders don’t consider when making purchases. This is hurting our country — and killing our economy."

    Peter Navarro, a professor of economics and public policy in the business school at the University of California, Irvine, directed the documentary film “Death by China.”

    http://www.nytimes.com/2013/08/05/opinion/the-price-of-made-in-china.html?ref=economy&_r=0

    See you.

    PGR

     

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  • Buenas,

     

    "El turismo internacional se recupera en junio. La crisis en Europa pasó factura al sector en España al arranque de 2013, pero ese traspiés ya parece olvidado. Al menos, tras los buenos datos de mayo, la tendencia positiva prosiguió el pasado mes. Según la encuesta de Movimientos Turísticos en Fronteras (Frontur) que elabora el Ministerio de Industria, el país recibió más de seis millones de visitantes foráneos. Es la primera vez que ocurre en junio. Una cifra que eleva el acumulado del primer semestre hasta los 26,1 millones de viajeros extranjeros, un 4,2% más que el pasado año y segundo mejor registro histórico.

    El incremento de junio se produjo principalmente, tal como indican desde Industria, por la llegada de más turistas desde los países nórdicos, Reino Unido y Rusia. Entre otros motivos, gracias a la inestabilidad de Turquía y Egipto. El informe cifró en un 5,3% el aumento de visitantes internacionales el pasado mes, en comparación con 2012. En total, arribaron a España 6.315.882 extranjeros.

    Pero no todas las comunidades se beneficiaron de este aumento. Los destinos que obtuvieron los datos más positivos fueron la Comunidad Valenciana (+9,8%), Baleares (+9,%) y Cataluña (6,7%). Madrid representó, en cambio, la otra cara de la moneda. Como consecuencia de las caída de turistas italianos y estadounidenses, la región registró en junio un descenso del 12% de las llegadas.

    Menos alemanes, muchos más rusos

    Alemania aporta una de cal y otra de arena al sector turístico español. La cifra positiva: llegaron 4,2 millones de viajeros desde el país germánico a lo largo del primer semestre del año; lo que supone un aumento del 3,1% en tasa interanual. La negativa: los visitantes cayeron ligéramente en junio (-0,5%) respecto al mismo mes de 2012, hasta los 1,02 millones.

    Los alemanes jugaron un papel fundamental en el incremento contabilizado entre enero y junio de 2013. Pero Reino Unido fue el mercado que más contribuyó al aumento de turistas en España. Este grupo representó el 27% del total de visitantes internacionales. Con las Islas Baleares como primer destino, llegaron 1.693.694 británicos en junio (+4,9%). Y, en el acumulado desde enero, el aumento fue del 4,5%, con 6,1 millones de turistas.

    El mercado ruso experimentó el mayor crecimiento en el primer semestre (+33,6%), seguido del nórdico (15,9%). También llegaron un 6,1% de franceses en dicho periodo y un 2,1% más de holandeses. Los italianos descendieron un 12,1%."

     

    (http://economia.elpais.com/economia/2013/07/22/actualidad/1374481335_965052.html)

     

    Un article qui devrait faire réfléchir certains pays européens...

    Bien à vous.

    PGR

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  • Bonsoir à tous,...

     

    Je vous informe la réalité et la présence d'une manifestation pacifique sur un événement grave survenu récemment en France.

    Comme la presse et les médias n'en font aucune cas, je me dois d'en prolonger l'existence.

    Voici le site qui vous donneront les informations nécessaire sur ce mouvement pacifique.

     

    http://lesveilleurs.tumblr.com/

     

    "Nous sommes les Veilleurs.

    Nous venons en paix défendre le droit des enfants à avoir un père et une mère. La nuit des Veilleurs en quelques lignes : Alors que l'inimaginable surdité du gouvernement stupéfait chaque jour davantage les Français, nous conservons notre entière sérénité pour défendre ce que nous avons de plus cher.

    Ou plutôt "ceux" que nous avons de plus chers : nos enfants d'aujourd'hui et de demain qui auront toujours le droit d'avoir un père et une mère. Si les plus faibles ne sont pas défendus par les plus forts, si les envies égoïstes d'une minorité prennent le dessus sur le droit des enfants, alors jamais plus l'humanité ne pourra se regarder en face.

    Dans la tranquillité et la confiance en un combat juste, venez partager avec vos amis une nouvelle nuit très forte en émotions. Retrouvons-nous autour de textes et de méditations philosophiques pour nous efforcer à transmettre au gouvernement l'humilité et la sagesse qui lui font terriblement défaut.

    L'heure est grave, l'heure est au choix de civilisation, nous avons tous rendez-vous avec l'Histoire. Ne lâchons donc rien, absolument rien.

    À ce soir !

    INVITEZ VOS AMIS À REJOINDRE LA RÉSISTANCE PACIFIQUE !!"

     

    « L'homme moderne est l'esclave de la modernité, il n'est point de progrès qui ne tourne pas à sa plus complète servitude. » Paul Valery

     

    Je me joins à eux. Et vous ?

     

    Bien à vous.

     

    PGR

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  • Bonsoir à tous,

    On parle beaucoup ces temps-ci de gaspillage en tout genre.

    La toile a ceci de fabuleux :  pouvoir expliquer des faits complexes avec des moyens simples.

    Je vous propose cette vidéo qui vous donnera un aspect du gaspillage (wasting)

    Ce sujet est inépuisable mais il faut réagir et même surréagir !!!

    Il ne suffit pas d'en parler, il faut comprendre pourquoi.

    Un récent rapport du FAO nous alerte sur ce sujet (http://www.fao.org/news/story/fr/item/74312/icode/), et d'autre encore (http://optigede.ademe.fr/gaspillage-alimentaire-0) et un hebdomadaire français récent (http://www.lefigaro.fr/conso/2013/01/11/05007-20130111ARTFIG00426-50-de-la-nourriture-mondiale-finit-a-la-poubelle.php).

     

    L'essentiel est de prendre conscience à son modeste niveau et de ne pas gaspiller car le gaspillage de chacun accentue la famine d'un plus grand nombre !

     

    Instruisons nous !

     

    (Pour les français, cliquer sur la langue choisie : français)

     

     Bien à vous.

     

    PGR

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